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Nouvelle Bentley Flying Spur S 2023 : une version plus agressive de la luxueuse berline anglaise

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Nouvelle Bentley  Flying Spur S 2023 : une version plus agressive de la luxueuse berline anglaise, Africars24

La Flying Spur S est proposée avec un choix de deux groupes motopropulseurs, chacun offrant une expérience de conduite sportive et enrichissante grâce à des approches d’ingénierie complémentaires, tout en conservant les performances sans effort pour lesquelles Bentley est synonyme.

La version V8 de la Flying Spur S est propulsée par le moteur V8 avancé de 4,0 litres de Bentley, développant 550 ch et 770 Nm de couple. L;accélération de 0 à 100 Km/h ne prend que 4,0 secondes et la vitesse de pointe – lorsque cela est possible et légal est de 320 Km/h.

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Il est livré en standard avec Bentley Dynamic Ride, capable d’appliquer jusqu’à 1300 Nm de couple anti-roulis en 0,3 seconde pour maintenir la carrosserie à plat et stable dans les virages fougueux, tout en offrant une conduite douce et souple aux passagers à des vitesses plus douces en découplant les roues sur chaque essieu. La direction intégrale électronique est également incluse de série.

Lors des manœuvres à basse vitesse, le système braque les roues arrière dans le sens opposé aux roues avant jusqu’à 4,2° pour réduire le rayon de braquage et augmenter l’agilité. À des vitesses plus élevées, les roues arrière tournent dans la même direction que les roues avant pour une stabilité qui inspire confiance lors des changements de voie et des dépassements.

Pour ceux qui sont citadins ou soucieux de l’environnement, la Flying Spur S est également disponible avec un groupe motopropulseur hybride. Celui-ci combine un moteur essence V6 de 2,9 litres avec un moteur électrique avancé, délivrant un total de 536 ch et 750 N.m de couple, pour un temps de 0 à 100 Km/h en seulement un dixième de seconde plus lent que le V8, soit 4.1 secondes. Capable de parcourir jusqu’à 41 km en mode électrique pur et avec seulement 75 g de CO2 par kilomètre (WLTP), la Flying Spur Hybrid S est la Bentley la plus efficace à ce jour.

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Les clients qui aiment explorer les performances de leur Bentley apprécient également le plaisir auditif d’un groupe motopropulseur axé sur les performances; le Flying Spur S à moteur V8 offre cela via un échappement sport redessiné tandis que le Flying Spur Hybrid S (en mode Sport) présente des améliorations sonores ingénieuses dans le compartiment moteur qui correspondent au caractère plus sportif de la voiture pour le conducteur tout en maintenant bas niveaux sonores dans la cabine arrière.

Le noir brillant des modèles Flying Spur S crée un look athlétique et sobre, quelle que soit la finition extérieure choisie. Comme l’équipe de conception de Crewe le comprend clairement, l’absence de reflets métalliques brillants encourage l’œil à saisir la forme du véhicule et à le percevoir comme plus bas et plus large – l’essence d’une Bentley sportive. L’effet est complété par des grilles de pare-chocs inférieures noires brillantes, des phares et des feux arrière teintés foncés, des sorties d’échappement quadruples noires et un écusson S distinctif sur les ailes avant. La calandre est noire brillante avec des ailettes verticales et un contour noir brillant. Seuls l’insigne ailé Bentley et le lettrage sur le couvercle du coffre se distinguent par leur finition chromée brillante.

La gamme S est proposée avec une toute nouvelle option de roue de 22 pouces, avec cinq rayons en forme de Y en noir brillant ou alternativement disponible dans une nouvelle finition Pale Brodgar Satin. Une deuxième option de roue pour les modèles S est une conception de roue à trois rayons de 21 pouces qui combine des finitions usinées noires brillantes et brillantes – également uniques à S. Quelle que soit la roue, les étriers de frein rouges de série soulignent le caractère extraverti des modèles S.

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Pour l’intérieur de la Flying Spur S, les clients peuvent laisser libre cours à leur imagination avec un choix de couleurs bicolores axées sur la performance, fabriquées à la main dans l’atelier de cuir de Crewe en utilisant une combinaison de cuir lisse et de Dinamica à poils doux. Ce matériau semblable au daim est utilisé pour le volant chauffant, le levier de vitesses, les coussins de siège et les dossiers de siège tandis que le cuir est utilisé sur les traversins de siège, les coussins de porte, le long du tableau de bord et autour de la console.

Les sièges design S sont cannelés, avec matelassage disponible en option, et l’emblème « S » est brodé sur l’appui-tête de chaque siège ; les ailes Bentley brodées sont une alternative gratuite. L’instrumentation du pilote s’inspire des chronomètres de sport automobile, avec les mêmes graphismes que la Continental GT Speed. Les touches de finition incluent un badge de signature S en métal sur le carénage et des plaques de seuil Bentley illuminées avec le dispositif «S» remplaçant la plaque Bentley Motors Ltd.

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7 faits surprenants sur le KIA Sorento 2024 qui vont vous faire reconsidérer votre prochain achat

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7 faits surprenants sur le KIA Sorento 2024 qui vont vous faire reconsidérer votre prochain achat, Africars24

Sous son design audacieux, presque sculptural, se cache un véhicule qui a obsessionnellement pensé à chaque détail. Loin d’être une simple alternative économique aux ténors européens, le Sorento est une leçon d’ingénierie et de design, truffée de secrets qui ne demandent qu’à être découverts. Si vous pensez qu’il ne s’agit que d’un autre SUV à sept places, préparez-vous à changer radicalement d’avis. Car ce ne sont pas les écrans géants ou la puissance brute qui définissent le Sorento, mais une série d’innovations discrètes et de touches de génie qui transforment chaque trajet.

Le sanctuaire caché sous le plancher de coffre

Au premier regard, le coffre du Sorento est simplement vaste. Mais soulevez le plancher rigide et vous ne trouverez pas seulement une roue de secours. KIA y a aménagé un véritable sanctuaire de praticité. Au-delà des compartiments de rangement profonds et bien agencés, on découvre des détails qui trahissent une conception pensée pour le monde réel. L’emplacement dédié pour le cache-bagages lorsque vous utilisez la troisième rangée, par exemple, est une solution simple à un problème agaçant que beaucoup de concurrents ignorent. On y trouve aussi, selon les marchés, des accessoires inattendus comme un kit de premiers secours ou même un extincteur. Ce n’est pas un gadget, c’est la preuve que la sécurité et l’organisation ne sont pas des options, mais des fondamentaux intégrés dès la planche à dessin.

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Des sièges de première classe que les Allemands envient

Asseyez-vous au volant et vous comprendrez que le mot « confort » a été pris très au sérieux. Les sièges avant ne sont pas simplement chauffants et ventilés. Ils intègrent ce que KIA nomme la technologie « Ergo-Motion ». Il s’agit de sièges dynamiques utilisant des poches d’air internes pour offrir des micro-ajustements continus et des modes d’étirement qui combattent la fatigue sur les longs trajets. Activez la fonction « Étirement confortable » via l’écran central et le siège engagera une séquence douce pour le bassin et les lombaires. C’est le genre de technologie que l’on s’attend à trouver dans une berline de luxe coûtant le double du prix, pas dans un SUV familial. C’est un engagement clair envers le bien-être du conducteur qui va bien au-delà du simple maintien.

L’intelligence discrète au-delà des écrans

Notre époque est obsédée par la taille des écrans. Le Sorento en possède de superbes, c’est un fait. Mais sa véritable intelligence réside ailleurs, dans les détails qui facilitent la vie. Observez la console centrale : le chargeur à induction pour smartphone est placé à la verticale, dans un logement dédié. Votre téléphone ne glisse pas, reste visible et charge efficacement. Juste à côté, les ports USB sont intégrés sur les flancs des dossiers des sièges avant, un emplacement parfait pour que les passagers arrière puissent brancher leurs appareils sans qu’un câble ne traverse tout l’habitacle. Et que dire de ce petit compartiment secret, presque invisible, situé à gauche sous le volant ? C’est l’endroit idéal pour ranger une carte de parking ou des lunettes. C’est cette ergonomie réfléchie qui prouve la supériorité d’un design centré sur l’humain.

Le design « Opposites United » qui change tout

Le Sorento restylé est le porte-étendard de la philosophie de design de KIA, « Opposites United » (L’Alliance des Contraires). Le concept est simple mais puissant : fusionner des éléments qui semblent contradictoires pour créer une tension visuelle harmonieuse. Le Sorento incarne le pilier « Bold for Nature » (Audacieux par Nature). La face avant, avec ses phares verticaux et sa calandre massive, dégage une assurance brute, presque inspirée d’un grand SUV américain comme le Telluride. Pourtant, les lignes de carrosserie sont tendues, élégantes et sophistiquées. Ce n’est plus un véhicule qui cherche à plaire à tout le monde. C’est un objet de design affirmé, qui possède une véritable présence sur la route sans être agressif.

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La troisième rangée n’est plus une punition

Dans beaucoup de SUV, les deux places du fond relèvent davantage de la punition que du transport. KIA a repensé leur usage. L’accès est facilité par un bouton situé sur le côté du siège de la deuxième rangée, qui le fait basculer et coulisser en un seul geste. Mais le vrai coup de génie se trouve dans le coffre. Au lieu de se battre avec des sièges lourds, de simples sangles permettent de les relever ou de les rabattre sans effort. Mieux encore, les occupants de la troisième rangée disposent de leurs propres aérateurs, de porte-gobelets et même d’une prise 12V. Ce ne sont plus des places d’appoint, mais un espace de vie pensé pour des passagers à part entière.

Un traitement de luxe pour les passagers arrière

L’attention portée aux passagers ne s’arrête pas à la troisième rangée. Ceux du deuxième rang sont particulièrement choyés. Le détail le plus marquant, souvent réservé aux segments supérieurs, est la présence de pare-soleil intégrés directement dans les portières. Fini les ventouses disgracieuses et inefficaces. Un simple geste suffit pour créer une ambiance plus tamisée et protéger les enfants du soleil. Combinés à des sièges coulissants et inclinables, à des aérateurs dédiés et aux fameux ports USB intégrés, ces éléments font du Sorento l’un des véhicules les plus accueillants de sa catégorie pour ceux qui ne sont pas au volant. Voyager en famille prend une toute autre dimension.

Le toit panoramique qui réinvente l’habitacle

Un toit ouvrant n’a rien de nouveau. Mais la manière dont celui du Sorento est intégré change la perception de l’espace. Il s’agit d’une immense surface vitrée en deux panneaux qui inonde l’habitacle de lumière, de la première à la deuxième rangée. L’effet est immédiat : la sensation d’espace est décuplée, le design intérieur est mis en valeur et le lien avec l’extérieur est renforcé. Sur une route de montagne ou lors d’un voyage nocturne en ville, l’expérience est transformée. Ce n’est pas une simple case cochée sur la liste des options ; c’est un élément de design à part entière qui contribue directement à l’émotion que procure le véhicule.

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Le KIA Sorento 2024 est une machine à surprises. Chaque détail, de la conception des sièges au plus petit compartiment de rangement, témoigne d’une volonté de dépasser les attentes. Il ne se contente pas de rivaliser avec ses concurrents sur le papier ; il les surclasse sur le terrain de l’intelligence pratique et de l’attention au détail. Ces sept faits ne sont qu’un aperçu d’un véhicule qui mérite bien plus qu’un simple coup d’œil. Il mérite un essai routier.

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Pourquoi 99% des gens ne comprendront jamais vraiment le luxe de la Rolls-Royce Spectre

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Pourquoi 99% des gens ne comprendront jamais vraiment le luxe de la Rolls-Royce Spectre, Africars24

Oubliez le prix. Sérieusement. Si votre première pensée face à la Rolls-Royce Spectre, ce monolithe électrique facturé à plus de 400 000 € hors options, est de la juger à l’aune de son coût, vous êtes déjà passé à côté de l’essentiel. C’est précisément pour cela que la quasi-totalité de la population observera cet objet roulant sans jamais saisir la véritable nature de son luxe. La Spectre n’est pas une voiture. C’est un manifeste. Une rébellion silencieuse contre un monde bruyant, pressé et standardisé. Son luxe ne se mesure pas en chevaux-vapeur ou en options cochées sur un catalogue, mais en décibels en moins, en heures de sérénité gagnées et en une exclusivité qui dépasse la simple surface financière. C’est une expérience sensorielle conçue pour une élite qui n’achète plus des objets, mais du temps et de la tranquillité.

Plus qu’une Voiture, un Sanctuaire Roulant

Pourquoi 99% des gens ne comprendront jamais vraiment le luxe de la Rolls-Royce Spectre, Africars24

Le passage à l’électrique n’était pas un choix pour Rolls-Royce, c’était une évidence. Pas pour des raisons écologiques, mais parce que cette technologie permet d’atteindre le but ultime de la marque depuis plus d’un siècle : le silence absolu. Le V12 maison était déjà une référence en matière de discrétion, mais le double moteur électrique de la Spectre, développant 585 chevaux et 900 Nm de couple, propulse l’expérience dans une autre dimension. Le 0 à 100 km/h en 4,5 secondes est anecdotique. La véritable performance est l’isolement total qu’il procure. Les ingénieurs ont utilisé plus de 150 kg de matériaux isolants et ont même poli les conduits d’air conditionné pour que l’air ne s’y exprime pas avec impolitesse. La suspension « Planar », capable de désaccoupler les barres anti-roulis en ligne droite, ne se contente pas de gommer les imperfections de la route, elle donne l’impression de flotter à quelques centimètres au-dessus. C’est ce que Rolls-Royce nomme le « Magic Carpet Ride », et jamais cette expression n’a été aussi juste.

Le Design : Un Dialogue entre Héritage et Futurisme Radical

La Spectre ne ressemble à aucune autre voiture électrique, car elle ne cherche pas à en être une. Elle est avant tout une Rolls-Royce. Sa silhouette massive de « fastback », inspirée des yachts les plus élégants, est une déclaration de présence. Chaque détail est un pont entre le passé et l’avenir. Le Spirit of Ecstasy, la célèbre statuette ornant le capot, a été affiné pendant plus de 830 heures en soufflerie pour être plus bas, plus dynamique, et contribuer au coefficient de traînée record de 0,25, faisant de la Spectre la Rolls-Royce la plus aérodynamique de l’histoire. La calandre Panthéon, la plus large jamais montée sur une Rolls, n’est pas là pour refroidir un moteur inexistant, mais pour être illuminée la nuit, offrant une signature lumineuse qui ne crie pas, mais qui murmure sa supériorité. Ce design n’est pas fait pour plaire à tout le monde. Il est fait pour affirmer que l’opulence et la grandeur ont leur place dans le futur, un futur silencieux et implacable.

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L’Artisanat à l’Ère Numérique : Le Luxe des Détails Invisibles

Pourquoi 99% des gens ne comprendront jamais vraiment le luxe de la Rolls-Royce Spectre, Africars24

C’est ici que la notion de luxe devient totalement incompréhensible pour le commun des mortels. L’intérieur de la Spectre est moins un habitacle qu’une galerie d’art privée. Pour la première fois, les « Starlight Doors » font leur apparition, intégrant 4 796 « étoiles » lumineuses dans les contre-portes, en plus du traditionnel ciel de toit étoilé. Le tableau de bord côté passager peut lui aussi être orné de plus de 5 500 étoiles formant le nom « Spectre ». Mais le véritable luxe est le programme « Bespoke ». Il ne s’agit pas de choisir la couleur de son cuir dans une palette de 20 teintes. Il s’agit de commander une œuvre unique. Un client peut demander à ce que le bois de l’habitacle provienne d’un arbre de sa propriété, à ce que le motif de la broderie sur les sièges reproduise un dessin de son enfant, ou à ce qu’une nouvelle couleur de carrosserie, portant son nom, soit créée et ne puisse plus jamais être utilisée par quelqu’un d’autre.

Un Club Exclusif, Pas un Achat

La raison fondamentale pour laquelle la Spectre est un concept si abstrait est que l’on ne l’achète pas comme on achète un produit. On reçoit une allocation. L’argent, bien que nécessaire, n’est pas le seul critère. La marque privilégie ses clients les plus loyaux et ceux dont le profil correspond à son image. La liste d’attente, qui s’étend sur plusieurs années, n’est pas un problème logistique, c’est un filtre. Ce processus transforme la transaction en une commission, un peu comme on commanderait un portrait à un grand maître. Posséder une Spectre, c’est intégrer un club dont les membres partagent une même vision du monde, où le luxe n’est pas l’affichage de la richesse, mais la capacité à s’en extraire. C’est acheter le silence, la personnalisation absolue, et l’assurance d’être dans un cocon que personne d’autre ne peut répliquer. Et cette idée, dans notre monde de production de masse, est le luxe le plus inaccessible qui soit.

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Saviez-vous que la SL 63 peut se recharger en roulant ? On vous explique ce tour de magie.

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Saviez-vous que la SL 63 peut se recharger en roulant ? On vous explique ce tour de magie., Africars24

Loin des discours édulcorés sur l’efficience et les petits trajets en silence, Mercedes-AMG a détourné la technologie hybride pour la transformer en une arme de performance brute. Le porte-étendard de cette philosophie radicale est la nouvelle Mercedes-AMG SL 63 S E Performance. Un roadster de 2,3 tonnes et 816 chevaux qui cache un secret fascinant : une capacité à régénérer son énergie avec une agressivité telle qu’elle redéfinit la notion même de conduite. Ce n’est pas de l’écologie, c’est de la sorcellerie mécanique puisée directement dans les paddocks de la Formule 1. On vous explique comment ce « tour de magie » fonctionne et pourquoi il change absolument tout.

Le cœur de l’illusion : bien plus qu’un simple hybride

Pour comprendre la SL 63 S E Performance, il faut d’abord effacer de son esprit l’image d’une Toyota Prius. Ici, le système hybride n’est pas un accessoire destiné à réduire la consommation, mais le cœur d’une stratégie de puissance instantanée. AMG nomme cela « E Performance ». La pièce maîtresse est une batterie Haute Performance (HPB) de 6,1 kWh, développée en interne à Affalterbach. Sa mission n’est pas de vous emmener au bureau en mode furtif sur des dizaines de kilomètres, comme en témoigne son autonomie dérisoire de 13 km. Sa véritable vocation est d’encaisser et de délivrer de l’énergie à une vitesse fulgurante, une caractéristique héritée directement des monoplaces de Lewis Hamilton. Cette batterie est conçue pour être constamment sollicitée, vidée et rechargée plusieurs fois lors d’une seule attaque sur une route de montagne ou un circuit.

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La mécanique de la magie : comment ça marche vraiment ?

Le secret de cette auto-recharge réside dans un système de freinage régénératif configurable sur quatre niveaux, sélectionnables via un bouton sur le volant. Au niveau 0, la voiture se comporte comme un véhicule thermique classique, en roue libre lorsque vous levez le pied. Au niveau 1, une légère récupération d’énergie se met en place, à peine perceptible. Les niveaux 2 et 3, en revanche, transfigurent l’expérience. Le niveau 3 est si puissant qu’il permet ce que les ingénieurs appellent la conduite « One-Pedal ». En levant simplement le pied de l’accélérateur, la voiture décélère si fort que les feux de stop s’allument. Le moteur électrique, situé sur l’essieu arrière, inverse sa fonction pour devenir un générateur, récupérant jusqu’à 100 kW de puissance pour recharger la batterie. C’est une force de décélération massive qui rend l’usage de la pédale de frein presque superflu dans de nombreuses situations de conduite dynamique.

Une symphonie de puissance, pas seulement une fonction

Cette régénération agressive n’est pas un gadget. C’est la clé qui permet au V8 biturbo de 4,0 litres et au moteur électrique de 204 chevaux de fonctionner en parfaite harmonie. En gardant la batterie toujours à un niveau de charge optimal, le système garantit que le « boost » électrique est disponible à chaque sortie de virage, à chaque ré-accélération. La voiture ne s’essouffle jamais. En mode Sport+ ou Race, le système est calibré pour que l’énergie récupérée lors d’un freinage appuyé soit immédiatement prête à être redéployée pour la ligne droite suivante. C’est un cycle perpétuel de puissance. Le système gère intelligemment le flux d’énergie pour s’assurer que le conducteur dispose toujours de la totalité des 1420 Nm de couple. C’est une approche qui privilégie la constance de la performance maximale plutôt que l’endurance électrique.

La connexion F1 : du cockpit de Hamilton à votre garage

L’analogie avec la Formule 1 n’est pas un simple argument marketing. La batterie de la SL 63 utilise une technologie de refroidissement direct révolutionnaire. Chacune des 560 cellules est refroidie individuellement par un liquide non conducteur qui circule autour d’elle. Ce système maintient la batterie à une température de fonctionnement idéale et constante d’environ 45°C, qu’elle soit en pleine charge ou en pleine décharge. C’est ce qui lui permet d’offrir des performances répétées sans surchauffe ni baisse de puissance, un problème courant sur les batteries lithium-ion conventionnelles. C’est une technologie conçue pour la guerre du chrono, où chaque milliseconde compte, et elle se retrouve aujourd’hui sous le capot d’un cabriolet de Grand Tourisme.

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Un aperçu du futur d’AMG ?

Le système de régénération de la SL 63 S E Performance est bien plus qu’une simple fonctionnalité technique. C’est une déclaration d’intention. À une époque où le V8 est en sursis, AMG ne se contente pas de l’électrifier pour survivre ; la marque le réinvente pour le rendre encore plus monstrueux. Cette technologie n’a pas pour but de sauver la planète, mais de préserver l’âme d’AMG dans un monde qui change. Elle apprend au conducteur une nouvelle danse, un nouveau rythme où la décélération devient une partie intégrante de l’accélération. C’est un pont intelligent et spectaculaire jeté entre un héritage thermique glorieux et un avenir électrique inévitable. La magie de la SL 63, ce n’est pas de rouler sans essence, c’est de transformer chaque freinage en une promesse de puissance à venir.

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