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Le Kia Telluride 2024 : un VUS familial avec style et substance

Découvrez les mises à jour et les caractéristiques impressionnantes du Kia Telluride 2024, notamment un nouveau design élégant, des accents noirs brillants, un équipement de série généreux et un puissant moteur V6.

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Le Kia Telluride 2024 : un VUS familial avec style et substance, Africars24

Le Kia Telluride est un VUS intermédiaire à trois rangées qui a été salué pour son intérieur spacieux, sa conduite confortable et sa liste impressionnante de caractéristiques de série. Pour 2024, le Telluride reçoit quelques mises à jour mineures, mais il reste l’un des meilleurs VUS familiaux sur le marché.

Extérieur

Le design extérieur du Telluride est à la fois élégant et robuste. Il est doté d’une grande calandre, de phares inclinés vers l’arrière et d’une posture musclée. Le Telluride est disponible dans une variété de couleurs, y compris Snow White Pearl, Gravity Blue et Deep Crimson Metallic.

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Le Kia Telluride 2024 : un VUS familial avec style et substance, Africars24
Kia Telluride 2024

Intérieur

L’intérieur du Telluride est tout aussi impressionnant que son extérieur. Il est spacieux et confortable, avec beaucoup de place pour jusqu’à huit passagers. Les sièges offrent un bon soutien et sont bien rembourrés, et les matériaux utilisés dans l’habitacle sont de haute qualité. Le Telluride est également livré en standard avec une longue liste de fonctionnalités, notamment un système d’infodivertissement à écran tactile de 12,3 pouces, un système audio Harman Kardon à 10 haut-parleurs et un toit ouvrant panoramique.

Moteur et performances

Le Telluride est propulsé par un moteur V6 de 3,8 litres qui produit 291 chevaux et 355 Nm de couple. Il est couplé à une boîte automatique à huit rapports et peut être équipé d’une traction avant ou d’une transmission intégrale. Le Telluride est performant et peut remorquer jusqu’à 5 000 livres (environ 2268 kg).

Technologie

Le Telluride est livré en standard avec une longue liste de fonctions de sécurité avancées, notamment l’avertissement de collision avant, le freinage d’urgence automatique, l’avertissement de sortie de voie et l’assistance au maintien de voie. Il est également livré en standard avec une variété de fonctionnalités d’infodivertissement, notamment un écran tactile de 12,3 pouces, Apple CarPlay et Android Auto.

Tarification

Le Kia Telluride 2024 commence à 37 355 $ (34 132 euros). Ce prix comprend les frais de destination. Le Telluride est d’un excellent rapport qualité-prix, et c’est l’un des meilleurs VUS familiaux sur le marché.

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Global

Le Kia Telluride 2024 est un excellent choix pour les familles qui recherchent un VUS spacieux, confortable et bien équipé. Il regorge de fonctionnalités et offre un excellent rapport qualité-prix. Si vous êtes à la recherche d’un nouveau SUV, le Telluride vaut vraiment la peine d’être considéré.

Le Kia Telluride 2024 : un VUS familial avec style et substance, Africars24
Kia Telluride 2024

Voici quelques-uns des avantages et des inconvénients du Kia Telluride 2024 :

Avantages:

  • Intérieur spacieux et confortable
  • Moteur puissant
  • Longue liste de fonctionnalités standard
  • Excellent rapport qualité/prix

Les inconvénients:

  • Le siège de la troisième rangée est un peu à l’étroit pour les adultes
  • L’économie de carburant pourrait être meilleure
  • Certains rivaux ont une dynamique de conduite plus engageante

En bref, le Kia Telluride 2024 est un excellent choix pour les familles qui recherchent un VUS spacieux, confortable et bien équipé. Il regorge de fonctionnalités et offre un excellent rapport qualité-prix. Si vous êtes à la recherche d’un nouveau SUV, le Telluride vaut vraiment la peine d’être considéré.

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Ford GT Full Carbon : Le chef-d’œuvre de 1,5 million d’euros que Ford a failli ne jamais construire

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Ford GT Full Carbon : Le chef-d’œuvre de 1,5 million d’euros que Ford a failli ne jamais construire, Africars24

Conçue en secret dans un sous-sol du Michigan par une poignée de passionnés, elle est la preuve incarnée que le génie automobile carbure encore à l’audace et au mépris des conventions. Sa version la plus pure, la « Liquid Carbon », n’est pas seulement une voiture ; c’est une sculpture technologique à 1,5 million d’euros, une anomalie glorieuse qui a bien failli rester un simple fantasme d’ingénieur. Comment ce monstre de carbone a-t-il pu échapper à la bureaucratie pour devenir l’icône la plus désirable de sa génération ? L’histoire est aussi folle que la voiture elle-même.

Le Projet Phoenix : L’Hypercar Née dans un Sous-sol

Oubliez les studios de design immaculés et les processus de validation interminables. La genèse de la Ford GT de deuxième génération est un véritable roman d’espionnage industriel, mené à l’intérieur même de Ford. Fin 2013, alors que la stratégie « One Ford » d’Alan Mulally bat son plein et privilégie les modèles de grande diffusion, une petite équipe d’irréductibles se voit confier une mission clandestine. Le nom de code : « Project Phoenix ». L’objectif : créer en secret absolu une machine capable de retourner au Mans et d’y battre Ferrari, 50 ans après le triomphe historique de la GT40. Le projet était si confidentiel qu’une douzaine de personnes seulement, menées par le chef du développement produit Raj Nair, y avaient accès. Ils travaillaient la nuit et les week-ends dans un sous-sol anonyme du centre de développement, utilisant des clés en métal à l’ancienne plutôt que les badges électroniques standards pour ne laisser aucune trace. Cette clandestinité était leur seule chance d’éviter que le projet ne soit tué dans l’œuf par les comptables, pour qui une hypercar à faible volume était une hérésie financière.

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Plus qu’une Carrosserie, une Sculpture en Carbone Liquide

Le fruit de ce complot est une merveille d’aérodynamisme et de matériaux composites. Mais Ford a poussé le vice encore plus loin en 2020 avec l’édition « Liquid Carbon ». L’idée est simple en apparence, mais démoniaque dans son exécution : présenter la carrosserie entièrement en fibre de carbone nue, protégée uniquement par une couche de vernis brillant. Là où les autres constructeurs cachent les imperfections du tissage sous la peinture, Ford a dû atteindre un niveau de perfection obsessionnel. Chaque panneau de carbone doit avoir un tissage parfaitement aligné avec son voisin, créant une continuité visuelle sur toute la carrosserie. Ce processus, quasi artisanal, prend des centaines d’heures de travail supplémentaires et justifie un supplément de 250 000 dollars par rapport au modèle de base, déjà tarifé autour de 500 000 dollars. Le résultat est hypnotique, une œuvre d’art qui met en valeur la fonction aérodynamique de chaque courbe, de chaque prise d’air.

Un V6 qui Fait Taire les Sceptiques

Au cœur de ce châssis en carbone se niche la plus grande controverse de la voiture : un V6. Sacrilège ! hurlaient les puristes, nostalgiques du V8 de l’ancienne GT. Mais c’était ignorer la raison d’être de la voiture. Le choix du V6 EcoBoost bi-turbo de 3,5 litres n’était pas une décision marketing, mais une contrainte d’ingénieur dictée par la course et l’aérodynamisme. Un moteur plus compact permettait de dessiner une carrosserie en forme de goutte d’eau (« teardrop ») et de sculpter les incroyables tunnels aérodynamiques entre les roues arrière et la cellule centrale. Ces « flying buttresses » sont la signature visuelle de la GT et sa plus grande force, générant un appui monstrueux. Avec ses 660 chevaux, ce V6, directement dérivé de la compétition, catapulte la GT avec une brutalité et une bande-son rauque et unique qui, finalement, ont fait taire les critiques et prouvé que la noblesse d’un moteur ne se mesure pas à son nombre de cylindres.

Le Ticket d’Entrée le Plus Exclusif du Monde Automobile ?

Ford n’a pas seulement construit une voiture, ils ont créé un club. Pour avoir le droit de signer un chèque de plus de 500 000 dollars, il fallait passer par un processus de sélection digne d’une agence de renseignement. Les candidats devaient soumettre une application détaillée, justifiant leur loyauté à la marque Ford, leur présence sur les réseaux sociaux et, surtout, leur intention de conduire la voiture, pas de la laisser pourrir dans un garage climatisé. Une clause interdisait même la revente pendant 24 mois pour décourager les spéculateurs. Cette stratégie a rendu la GT encore plus désirable, la transformant en un véritable « graal » automobile, un symbole de statut bien plus puissant que des rivales parfois plus chères mais moins exclusives.

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Un Héritage Assuré, Un Avenir en Or Massif

Aujourd’hui, la production de la Ford GT est terminée, mais sa légende ne fait que commencer. Le projet Phoenix a rempli sa mission en remportant sa catégorie aux 24 Heures du Mans en 2016, un demi-siècle jour pour jour après le triplé historique. Les rares modèles Liquid Carbon, eux, s’arrachent désormais aux enchères pour des sommes folles. En janvier 2025, un exemplaire ayant appartenu à DJ Marshmello a été adjugé pour 1,76 million de dollars. Cette voiture, née d’un acte de désobéissance et d’une passion irrépressible, est devenue l’un des investissements les plus sûrs et les plus spectaculaires de la planète automobile. C’est l’ultime paradoxe de ce chef-d’œuvre : la machine que Ford a failli ne jamais construire est sans doute l’une des plus grandes réussites de toute son histoire.

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Les 10 Anecdotes Les Plus Folles sur le Développement du Premier BMW X6

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Les 10 Anecdotes Les Plus Folles sur le Développement du Premier BMW X6, Africars24

Le BMW X6 de première génération (E71) est le parfait exemple de la seconde catégorie. À son arrivée en 2008, il a été accueilli par un mélange de sarcasmes, d’incrédulité et de fascination. Un SUV avec une ligne de toit de coupé ? Une hérésie pour les puristes, un monstre pour les écologistes, une absurdité pour les pragmatiques. Et pourtant, ce pari audacieux, né dans le plus grand secret à Munich, est devenu un succès commercial retentissant et le pionnier d’un segment aujourd’hui copié par tous les constructeurs premium. Oubliez les communiqués de presse. Plongeons dans les coulisses de la création d’une icône controversée à travers 10 anecdotes que BMW ne vous a probablement jamais racontées.

L’Invention d’une Catégorie pour Justifier l’Injustifiable

Les 10 Anecdotes Les Plus Folles sur le Développement du Premier BMW X6, Africars24

Face au scepticisme, même en interne, les équipes marketing de BMW ont dû faire preuve d’une créativité folle. Le terme « SUV » (Sport Utility Vehicle) était jugé trop banal, trop utilitaire pour cette créature. Ils ont donc créé de toutes pièces une nouvelle classification : le SAC, pour « Sports Activity Coupé ». Ce n’était pas qu’un simple tour de passe-passe sémantique ; c’était une déclaration d’intention. BMW ne lançait pas un nouveau 4×4, mais un coupé de sport haut sur pattes, capable de s’aventurer hors des sentiers battus. Le message était clair : ne le jugez pas avec les critères d’un SUV, car il n’en est pas un. C’était la première étape pour construire une mythologie autour d’un véhicule que personne n’avait demandé, mais que beaucoup allaient désirer.

Un Designer Belge Contre le Reste du Monde

Derrière chaque design qui brise les codes se cache une visionnaire. Pour le X6, cet homme était le designer belge Pierre Leclercq. Sa mission était de fusionner l’ADN d’un coupé BMW, avec son agilité et son élégance, à la posture dominante d’un modèle X. Le résultat fut un dessin radical, une masse musculaire posée sur d’immenses roues, avec une ligne de toit fuyante qui sacrifiait ouvertement la praticité sur l’autel du style. Le projet a rencontré d’énormes résistances. De nombreux cadres et ingénieurs ne croyaient pas qu’un véhicule aussi polarisant et « inutile » puisse trouver son public. Leclercq a dû défendre sa vision avec une ténacité hors du commun, convaincu que l’audace et l’émotion l’emporteraient sur la raison pure.

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Le Choc du Salon de Francfort 2007

Lorsque le BMW Concept X6 a été dévoilé au Salon de l’Automobile de Francfort en 2007, la réaction a été sismique. La presse internationale était abasourdie. Les titres allaient de « génie audacieux » à « erreur monumentale ». Beaucoup de journalistes spécialisés lui prédisaient un échec cuisant, le qualifiant de « voiture de niche pour une niche qui n’existe pas ». Cette controverse médiatique, loin de desservir le projet, a créé un buzz sans précédent. Le X6 était sur toutes les lèvres des mois avant même sa commercialisation. BMW avait réussi son coup : personne n’était indifférent. La marque avait prouvé qu’elle avait encore la capacité de choquer et de provoquer le débat.

Une Technologie Née pour Dompter le Monstre

Les 10 Anecdotes Les Plus Folles sur le Développement du Premier BMW X6, Africars24

Les ingénieurs avaient un défi immense : comment faire en sorte que ce colosse de plus de 2,2 tonnes, haut perché, se comporte comme une authentique BMW sur la route ? La réponse fut une innovation technologique majeure : le Dynamic Performance Control (DPC). C’était le premier différentiel arrière à vectorisation de couple de ce type sur un véhicule de série. Ce système complexe pouvait distribuer activement le couple non seulement entre les essieux avant et arrière (via le xDrive) mais aussi entre les deux roues arrière. Concrètement, il pouvait accélérer la roue arrière extérieure en virage pour « pousser » la voiture et anéantir le sous-virage. C’était une solution incroyablement chère et sophistiquée, développée spécifiquement pour donner au X6 une agilité défiant les lois de la physique.

Un Frankenstein sur Base de X5

Si le X6 partage sa plateforme avec le X5 (E70) de l’époque, il serait faux de penser qu’il ne s’agit que d’un simple « recarrossage ». Les modifications étaient profondes. Toute la structure arrière, la suspension, le toit et les réglages de châssis étaient spécifiques. L’empattement était identique, mais les voies arrière du X6 étaient plus larges pour asseoir sa posture agressive. Ce cannibalisme technique a permis de réduire les coûts, mais a aussi imposé des contraintes, notamment en termes de poids. Le X6 était, à motorisation égale, légèrement plus lourd que son frère X5, un comble pour un « coupé ».

Le Pari Fou du X6 M

Alors que le monde essayait encore de comprendre le X6 standard, la division M de BMW préparait déjà en secret une version encore plus démente : le X6 M. C’était la toute première fois que le badge M était apposé sur un véhicule à transmission intégrale et doté d’un moteur turbo. Pour beaucoup d’ingénieurs « M » de la vieille école, c’était un sacrilège. Le projet a été mené avec une mentalité de « on va leur montrer ». Le résultat fut un monstre de 555 chevaux, capable d’humilier de nombreuses voitures de sport établies, et qui a prouvé que la folie du X6 n’avait aucune limite.

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Le Bide de la Version Hybride

Dans une tentative de verdir l’image du X6, BMW a lancé l’ActiveHybrid X6. Sur le papier, c’était une merveille technologique, combinant le V8 de 407 ch avec deux moteurs électriques pour une puissance combinée de 485 ch. C’était l’hybride le plus puissant du monde à sa sortie. Dans la réalité, le système était d’une complexité inouïe, ajoutait 250 kg au véhicule et son prix était exorbitant. Les gains en consommation étaient minimes et les clients potentiels du X6 n’étaient clairement pas là pour ça. Ce fut un échec commercial total, une anecdote qui prouve que même l’audace a ses limites.

Des Ventes Qui Ont Dépassé les Rêves les Plus Fous

Les analystes prédisaient un flop. BMW lui-même avait des objectifs de vente internes très prudents. La réalité a dépassé toutes les attentes. Le X6 a trouvé immédiatement sa clientèle, notamment sur des marchés comme les États-Unis, la Russie et le Moyen-Orient. Des acheteurs fortunés, désireux d’afficher un statut et de conduire quelque chose de différent et d’ostentatoire. Le X6 s’est vendu à plus de 250 000 exemplaires dans sa première génération, un chiffre phénoménal pour un véhicule de niche aussi cher et controversé. La preuve que le risque paie.

La Configuration Stricte à Quatre Places

Au lancement, le X6 était un strict quatre places. C’était un choix délibéré de design pour renforcer son identité de « coupé ». La console centrale arrière, qui courait entre les deux sièges, donnait aux passagers un sentiment d’exclusivité, comme dans un jet privé. Cette décision, bien qu’anticonformiste pour un véhicule de ce gabarit, a été cruciale pour forger son caractère. Ce n’est que bien plus tard, face à la demande, qu’une option pour une banquette arrière à trois places a été timidement introduite.

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L’Héritage Inattendu

La plus grande anecdote du X6 est peut-être son héritage. Ce véhicule, moqué à ses débuts, a créé à lui seul un marché qui vaut aujourd’hui des milliards. Sans le courage de BMW, il n’y aurait pas de Mercedes-Benz GLE Coupé, pas d’Audi Q8, pas de Porsche Cayenne Coupé, et pas même de Lamborghini Urus. Le X6 a prouvé à toute l’industrie automobile qu’il y avait une demande pour des SUV qui privilégient le style et l’émotion à la fonction. Il a changé les règles du jeu, et que vous l’aimiez ou le détestiez, son influence sur le paysage automobile des 15 dernières années est absolument indéniable.

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Les 5 détails de la Ferrari 812 Superfast que vous n’aviez jamais remarqués

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Les 5 détails de la Ferrari 812 Superfast que vous n’aviez jamais remarqués, Africars24

La Ferrari 812 Superfast n’est pas juste une voiture. C’est une déclaration. Un monument de 800 chevaux qui hurle sa supériorité à travers un V12 atmosphérique, une espèce en voie de disparition que Maranello chérit comme son plus grand trésor. Mais au-delà du vacarme assourdissant et des performances stratosphériques, la 812 Superfast est une machine d’une complexité et d’une subtilité rares. Son design, signé du Centre de Style Ferrari sous la direction de Flavio Manzoni, est un chef-d’œuvre fonctionnel où chaque courbe, chaque prise d’air, chaque détail a une raison d’être. Oubliez ce que vous pensez savoir. Nous allons décortiquer cinq détails secrets qui prouvent que le génie se cache, comme toujours, dans ce que l’œil non averti ne voit pas.

Le « By-pass » Aérodynamique du Flanc Arrière

Les 5 détails de la Ferrari 812 Superfast que vous n’aviez jamais remarqués, Africars24

Observez le flanc arrière de la 812, juste derrière la vitre de custode. Vous y verrez une entrée d’air sculptée avec une élégance folle. Beaucoup pensent qu’il s’agit d’un simple refroidissement pour les freins ou le différentiel. L’erreur est classique. Il s’agit en réalité d’une solution aérodynamique incroyablement astucieuse héritée de la très exclusive F12tdf. Nommée « aerodynamic by-pass », cette ouverture capte l’air à haute pression s’écoulant le long du flanc et le canalise à travers la carrosserie pour le faire ressortir plus loin, créant ainsi une dépression qui plaque littéralement la voiture au sol. Cette astuce permet d’augmenter l’appui vertical sans avoir recours à un aileron arrière massif et disgracieux, préservant ainsi la pureté de la ligne « fastback ». C’est l’exemple parfait de la philosophie de Ferrari : la fonction crée la forme, mais elle doit le faire avec une beauté et une intelligence spectaculaires.

L’Hommage Subtil à la 365 GTB/4 « Daytona »

Les 5 détails de la Ferrari 812 Superfast que vous n’aviez jamais remarqués, Africars24

Le design de la 812 Superfast est résolument moderne, agressif, presque futuriste. Pourtant, son ADN est profondément ancré dans l’histoire de la marque. La silhouette générale, avec sa ligne de toit fuyante et sa queue haute et tronquée, est un hommage direct à l’une des plus grandes icônes de Maranello : la Ferrari 365 GTB/4 de 1969, surnommée « Daytona ». Cette filiation est renforcée par un autre détail capital : le retour des quatre feux arrière ronds. Après des années de feux simples sur les berlinettes V12 comme la 599 et la F12, la 812 renoue avec cette tradition qui a marqué des générations de Ferrari. C’est plus qu’un simple clin d’œil stylistique ; c’est une manière d’affirmer que cette machine ultra-technologique est l’héritière légitime d’une lignée de GT à moteur avant qui a défini l’âge d’or de l’automobile.

Les Volets Mobiles Cachés dans le Soubassement

La 812 Superfast est une sculpture, mais c’est aussi un laboratoire d’aérodynamique active. L’un de ses secrets les mieux gardés se trouve sous le pare-chocs avant. Intégrés au fond plat, des volets mobiles (active flaps) restent fermés à basse vitesse pour optimiser la pénétration dans l’air et réduire la traînée. Mais dès que le rythme s’accélère et que le besoin d’appui se fait sentir, ces volets s’ouvrent automatiquement. Ce mouvement modifie le flux d’air sous la voiture, augmentant considérablement la force d’appui sur le train avant pour garantir une stabilité et une précision chirurgicales en courbe rapide. C’est une technologie directement issue de la compétition, totalement invisible pour le profane, qui travaille en silence pour donner au pilote une confiance absolue, même lorsqu’il pousse la voiture dans ses derniers retranchements.

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La Révolution de la Direction Assistée Électrique

Pour les puristes, l’annonce a fait l’effet d’une bombe : la 812 Superfast est la toute première Ferrari de l’histoire à abandonner la direction assistée hydraulique pour un système électrique (EPS). Un sacrilège pour certains, qui craignaient une perte de ressenti et une déconnexion entre le pilote et la route. C’était mal connaître les ingénieurs de Maranello. Loin d’être une simple concession à la modernité, cette EPS a été développée comme une composante clé de la dynamique du véhicule. Elle travaille en tandem avec le système de roues arrière directrices (Virtual Short Wheelbase 2.0) et des assistances intelligentes comme le Ferrari Peak Performance (FPP), qui indique au pilote qu’il approche de la limite d’adhérence en faisant varier l’effort au volant. Le résultat est une direction d’une rapidité fulgurante mais qui communique avec une clarté cristalline, prouvant qu’une technologie moderne, si elle est maîtrisée à la perfection, peut surpasser la tradition.

Les Générateurs de Vortex Inspirés de la F1

Retournons sous la voiture, là où la magie noire de l’aérodynamique opère. Le fond plat de la 812 Superfast n’est pas lisse. Il est équipé de trois paires de « dams » (des mini-déflecteurs) incurvés qui agissent comme des générateurs de vortex. Cette technologie, directement inspirée de la Formule 1, crée de mini-tornades contrôlées sous la voiture. Ces tourbillons d’air accélèrent le flux, ce qui provoque une chute de pression et aspire littéralement l’auto vers le bitume. Cet effet de sol est si puissant qu’il est responsable à lui seul d’une augmentation de 30% de l’appui aérodynamique par rapport à la F12berlinetta. C’est un travail de l’ombre, invisible et silencieux, mais c’est l’un des principaux artisans des capacités ahurissantes de la 812 en virage. La prochaine fois que vous verrez une 812 Superfast, ne vous contentez pas d’admirer ses lignes. Pensez à l’air qu’elle sculpte, aux secrets qu’elle cache dans ses entrailles et à l’ingénierie qui la transforme en bien plus qu’une simple supercar : un chef-d’œuvre.

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