Ferrari a toujours été le fournisseur de style et de luxe en matière de voitures, mais maintenant, ils ont intensifié leur jeu avec l’introduction des modèles Ferrari 296 GTB et GTS. Ces ajouts puissants et élégants à leur gamme sont livrés avec une variété d’options de personnalisation qui vous permettent de rendre chacun unique. Mais qu’est-ce qui rend ces véhicules si spéciaux ?
Les nouvelles Ferrari sont équipées d’un moteur V6 à double turbocompresseur, d’une transmission à double embrayage à huit rapports et d’un moteur d’entraînement alimenté par batterie. Cette combinaison en fait l’une des voitures les plus avancées technologiquement sur le marché aujourd’hui. Non seulement elles sont avancées, mais elles sont aussi incroyablement rapides ; Ferrari estime que ces véhicules peuvent atteindre le 0 à 100 km/h en moins de trois secondes !
En matière de style, les options ne manquent pas pour ces voitures. Des couleurs accrocheuses aux superbes finitions, vous pouvez personnaliser l’extérieur de votre véhicule comme vous le souhaitez. À l’intérieur, vous trouverez un revêtement en cuir luxueux qui ajoute une touche de classe et de sophistication à votre conduite.
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Donc, si vous recherchez une voiture qui offre puissance, vitesse et style tout en un, ne cherchez pas plus loin que les nouveaux modèles Ferrari 296 GTB ou GTS. Avec autant d’options de personnalisation disponibles, il sera facile de rendre votre voiture unique et vraiment la vôtre.
Le BMW X6 de première génération (E71) est le parfait exemple de la seconde catégorie. À son arrivée en 2008, il a été accueilli par un mélange de sarcasmes, d’incrédulité et de fascination. Un SUV avec une ligne de toit de coupé ? Une hérésie pour les puristes, un monstre pour les écologistes, une absurdité pour les pragmatiques. Et pourtant, ce pari audacieux, né dans le plus grand secret à Munich, est devenu un succès commercial retentissant et le pionnier d’un segment aujourd’hui copié par tous les constructeurs premium. Oubliez les communiqués de presse. Plongeons dans les coulisses de la création d’une icône controversée à travers 10 anecdotes que BMW ne vous a probablement jamais racontées.
L’Invention d’une Catégorie pour Justifier l’Injustifiable
Face au scepticisme, même en interne, les équipes marketing de BMW ont dû faire preuve d’une créativité folle. Le terme « SUV » (Sport Utility Vehicle) était jugé trop banal, trop utilitaire pour cette créature. Ils ont donc créé de toutes pièces une nouvelle classification : le SAC, pour « Sports Activity Coupé ». Ce n’était pas qu’un simple tour de passe-passe sémantique ; c’était une déclaration d’intention. BMW ne lançait pas un nouveau 4×4, mais un coupé de sport haut sur pattes, capable de s’aventurer hors des sentiers battus. Le message était clair : ne le jugez pas avec les critères d’un SUV, car il n’en est pas un. C’était la première étape pour construire une mythologie autour d’un véhicule que personne n’avait demandé, mais que beaucoup allaient désirer.
Un Designer Belge Contre le Reste du Monde
Derrière chaque design qui brise les codes se cache une visionnaire. Pour le X6, cet homme était le designer belge Pierre Leclercq. Sa mission était de fusionner l’ADN d’un coupé BMW, avec son agilité et son élégance, à la posture dominante d’un modèle X. Le résultat fut un dessin radical, une masse musculaire posée sur d’immenses roues, avec une ligne de toit fuyante qui sacrifiait ouvertement la praticité sur l’autel du style. Le projet a rencontré d’énormes résistances. De nombreux cadres et ingénieurs ne croyaient pas qu’un véhicule aussi polarisant et « inutile » puisse trouver son public. Leclercq a dû défendre sa vision avec une ténacité hors du commun, convaincu que l’audace et l’émotion l’emporteraient sur la raison pure.
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Le Choc du Salon de Francfort 2007
Lorsque le BMW Concept X6 a été dévoilé au Salon de l’Automobile de Francfort en 2007, la réaction a été sismique. La presse internationale était abasourdie. Les titres allaient de « génie audacieux » à « erreur monumentale ». Beaucoup de journalistes spécialisés lui prédisaient un échec cuisant, le qualifiant de « voiture de niche pour une niche qui n’existe pas ». Cette controverse médiatique, loin de desservir le projet, a créé un buzz sans précédent. Le X6 était sur toutes les lèvres des mois avant même sa commercialisation. BMW avait réussi son coup : personne n’était indifférent. La marque avait prouvé qu’elle avait encore la capacité de choquer et de provoquer le débat.
Une Technologie Née pour Dompter le Monstre
Les ingénieurs avaient un défi immense : comment faire en sorte que ce colosse de plus de 2,2 tonnes, haut perché, se comporte comme une authentique BMW sur la route ? La réponse fut une innovation technologique majeure : le Dynamic Performance Control (DPC). C’était le premier différentiel arrière à vectorisation de couple de ce type sur un véhicule de série. Ce système complexe pouvait distribuer activement le couple non seulement entre les essieux avant et arrière (via le xDrive) mais aussi entre les deux roues arrière. Concrètement, il pouvait accélérer la roue arrière extérieure en virage pour « pousser » la voiture et anéantir le sous-virage. C’était une solution incroyablement chère et sophistiquée, développée spécifiquement pour donner au X6 une agilité défiant les lois de la physique.
Un Frankenstein sur Base de X5
Si le X6 partage sa plateforme avec le X5 (E70) de l’époque, il serait faux de penser qu’il ne s’agit que d’un simple « recarrossage ». Les modifications étaient profondes. Toute la structure arrière, la suspension, le toit et les réglages de châssis étaient spécifiques. L’empattement était identique, mais les voies arrière du X6 étaient plus larges pour asseoir sa posture agressive. Ce cannibalisme technique a permis de réduire les coûts, mais a aussi imposé des contraintes, notamment en termes de poids. Le X6 était, à motorisation égale, légèrement plus lourd que son frère X5, un comble pour un « coupé ».
Le Pari Fou du X6 M
Alors que le monde essayait encore de comprendre le X6 standard, la division M de BMW préparait déjà en secret une version encore plus démente : le X6 M. C’était la toute première fois que le badge M était apposé sur un véhicule à transmission intégrale et doté d’un moteur turbo. Pour beaucoup d’ingénieurs « M » de la vieille école, c’était un sacrilège. Le projet a été mené avec une mentalité de « on va leur montrer ». Le résultat fut un monstre de 555 chevaux, capable d’humilier de nombreuses voitures de sport établies, et qui a prouvé que la folie du X6 n’avait aucune limite.
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Le Bide de la Version Hybride
Dans une tentative de verdir l’image du X6, BMW a lancé l’ActiveHybrid X6. Sur le papier, c’était une merveille technologique, combinant le V8 de 407 ch avec deux moteurs électriques pour une puissance combinée de 485 ch. C’était l’hybride le plus puissant du monde à sa sortie. Dans la réalité, le système était d’une complexité inouïe, ajoutait 250 kg au véhicule et son prix était exorbitant. Les gains en consommation étaient minimes et les clients potentiels du X6 n’étaient clairement pas là pour ça. Ce fut un échec commercial total, une anecdote qui prouve que même l’audace a ses limites.
Des Ventes Qui Ont Dépassé les Rêves les Plus Fous
Les analystes prédisaient un flop. BMW lui-même avait des objectifs de vente internes très prudents. La réalité a dépassé toutes les attentes. Le X6 a trouvé immédiatement sa clientèle, notamment sur des marchés comme les États-Unis, la Russie et le Moyen-Orient. Des acheteurs fortunés, désireux d’afficher un statut et de conduire quelque chose de différent et d’ostentatoire. Le X6 s’est vendu à plus de 250 000 exemplaires dans sa première génération, un chiffre phénoménal pour un véhicule de niche aussi cher et controversé. La preuve que le risque paie.
La Configuration Stricte à Quatre Places
Au lancement, le X6 était un strict quatre places. C’était un choix délibéré de design pour renforcer son identité de « coupé ». La console centrale arrière, qui courait entre les deux sièges, donnait aux passagers un sentiment d’exclusivité, comme dans un jet privé. Cette décision, bien qu’anticonformiste pour un véhicule de ce gabarit, a été cruciale pour forger son caractère. Ce n’est que bien plus tard, face à la demande, qu’une option pour une banquette arrière à trois places a été timidement introduite.
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L’Héritage Inattendu
La plus grande anecdote du X6 est peut-être son héritage. Ce véhicule, moqué à ses débuts, a créé à lui seul un marché qui vaut aujourd’hui des milliards. Sans le courage de BMW, il n’y aurait pas de Mercedes-Benz GLE Coupé, pas d’Audi Q8, pas de Porsche Cayenne Coupé, et pas même de Lamborghini Urus. Le X6 a prouvé à toute l’industrie automobile qu’il y avait une demande pour des SUV qui privilégient le style et l’émotion à la fonction. Il a changé les règles du jeu, et que vous l’aimiez ou le détestiez, son influence sur le paysage automobile des 15 dernières années est absolument indéniable.
La Ferrari 812 Superfast n’est pas juste une voiture. C’est une déclaration. Un monument de 800 chevaux qui hurle sa supériorité à travers un V12 atmosphérique, une espèce en voie de disparition que Maranello chérit comme son plus grand trésor. Mais au-delà du vacarme assourdissant et des performances stratosphériques, la 812 Superfast est une machine d’une complexité et d’une subtilité rares. Son design, signé du Centre de Style Ferrari sous la direction de Flavio Manzoni, est un chef-d’œuvre fonctionnel où chaque courbe, chaque prise d’air, chaque détail a une raison d’être. Oubliez ce que vous pensez savoir. Nous allons décortiquer cinq détails secrets qui prouvent que le génie se cache, comme toujours, dans ce que l’œil non averti ne voit pas.
Le « By-pass » Aérodynamique du Flanc Arrière
Observez le flanc arrière de la 812, juste derrière la vitre de custode. Vous y verrez une entrée d’air sculptée avec une élégance folle. Beaucoup pensent qu’il s’agit d’un simple refroidissement pour les freins ou le différentiel. L’erreur est classique. Il s’agit en réalité d’une solution aérodynamique incroyablement astucieuse héritée de la très exclusive F12tdf. Nommée « aerodynamic by-pass », cette ouverture capte l’air à haute pression s’écoulant le long du flanc et le canalise à travers la carrosserie pour le faire ressortir plus loin, créant ainsi une dépression qui plaque littéralement la voiture au sol. Cette astuce permet d’augmenter l’appui vertical sans avoir recours à un aileron arrière massif et disgracieux, préservant ainsi la pureté de la ligne « fastback ». C’est l’exemple parfait de la philosophie de Ferrari : la fonction crée la forme, mais elle doit le faire avec une beauté et une intelligence spectaculaires.
L’Hommage Subtil à la 365 GTB/4 « Daytona »
Le design de la 812 Superfast est résolument moderne, agressif, presque futuriste. Pourtant, son ADN est profondément ancré dans l’histoire de la marque. La silhouette générale, avec sa ligne de toit fuyante et sa queue haute et tronquée, est un hommage direct à l’une des plus grandes icônes de Maranello : la Ferrari 365 GTB/4 de 1969, surnommée « Daytona ». Cette filiation est renforcée par un autre détail capital : le retour des quatre feux arrière ronds. Après des années de feux simples sur les berlinettes V12 comme la 599 et la F12, la 812 renoue avec cette tradition qui a marqué des générations de Ferrari. C’est plus qu’un simple clin d’œil stylistique ; c’est une manière d’affirmer que cette machine ultra-technologique est l’héritière légitime d’une lignée de GT à moteur avant qui a défini l’âge d’or de l’automobile.
Les Volets Mobiles Cachés dans le Soubassement
La 812 Superfast est une sculpture, mais c’est aussi un laboratoire d’aérodynamique active. L’un de ses secrets les mieux gardés se trouve sous le pare-chocs avant. Intégrés au fond plat, des volets mobiles (active flaps) restent fermés à basse vitesse pour optimiser la pénétration dans l’air et réduire la traînée. Mais dès que le rythme s’accélère et que le besoin d’appui se fait sentir, ces volets s’ouvrent automatiquement. Ce mouvement modifie le flux d’air sous la voiture, augmentant considérablement la force d’appui sur le train avant pour garantir une stabilité et une précision chirurgicales en courbe rapide. C’est une technologie directement issue de la compétition, totalement invisible pour le profane, qui travaille en silence pour donner au pilote une confiance absolue, même lorsqu’il pousse la voiture dans ses derniers retranchements.
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La Révolution de la Direction Assistée Électrique
Pour les puristes, l’annonce a fait l’effet d’une bombe : la 812 Superfast est la toute première Ferrari de l’histoire à abandonner la direction assistée hydraulique pour un système électrique (EPS). Un sacrilège pour certains, qui craignaient une perte de ressenti et une déconnexion entre le pilote et la route. C’était mal connaître les ingénieurs de Maranello. Loin d’être une simple concession à la modernité, cette EPS a été développée comme une composante clé de la dynamique du véhicule. Elle travaille en tandem avec le système de roues arrière directrices (Virtual Short Wheelbase 2.0) et des assistances intelligentes comme le Ferrari Peak Performance (FPP), qui indique au pilote qu’il approche de la limite d’adhérence en faisant varier l’effort au volant. Le résultat est une direction d’une rapidité fulgurante mais qui communique avec une clarté cristalline, prouvant qu’une technologie moderne, si elle est maîtrisée à la perfection, peut surpasser la tradition.
Les Générateurs de Vortex Inspirés de la F1
Retournons sous la voiture, là où la magie noire de l’aérodynamique opère. Le fond plat de la 812 Superfast n’est pas lisse. Il est équipé de trois paires de « dams » (des mini-déflecteurs) incurvés qui agissent comme des générateurs de vortex. Cette technologie, directement inspirée de la Formule 1, crée de mini-tornades contrôlées sous la voiture. Ces tourbillons d’air accélèrent le flux, ce qui provoque une chute de pression et aspire littéralement l’auto vers le bitume. Cet effet de sol est si puissant qu’il est responsable à lui seul d’une augmentation de 30% de l’appui aérodynamique par rapport à la F12berlinetta. C’est un travail de l’ombre, invisible et silencieux, mais c’est l’un des principaux artisans des capacités ahurissantes de la 812 en virage. La prochaine fois que vous verrez une 812 Superfast, ne vous contentez pas d’admirer ses lignes. Pensez à l’air qu’elle sculpte, aux secrets qu’elle cache dans ses entrailles et à l’ingénierie qui la transforme en bien plus qu’une simple supercar : un chef-d’œuvre.
Sous son design audacieux, presque sculptural, se cache un véhicule qui a obsessionnellement pensé à chaque détail. Loin d’être une simple alternative économique aux ténors européens, le Sorento est une leçon d’ingénierie et de design, truffée de secrets qui ne demandent qu’à être découverts. Si vous pensez qu’il ne s’agit que d’un autre SUV à sept places, préparez-vous à changer radicalement d’avis. Car ce ne sont pas les écrans géants ou la puissance brute qui définissent le Sorento, mais une série d’innovations discrètes et de touches de génie qui transforment chaque trajet.
Le sanctuaire caché sous le plancher de coffre
Au premier regard, le coffre du Sorento est simplement vaste. Mais soulevez le plancher rigide et vous ne trouverez pas seulement une roue de secours. KIA y a aménagé un véritable sanctuaire de praticité. Au-delà des compartiments de rangement profonds et bien agencés, on découvre des détails qui trahissent une conception pensée pour le monde réel. L’emplacement dédié pour le cache-bagages lorsque vous utilisez la troisième rangée, par exemple, est une solution simple à un problème agaçant que beaucoup de concurrents ignorent. On y trouve aussi, selon les marchés, des accessoires inattendus comme un kit de premiers secours ou même un extincteur. Ce n’est pas un gadget, c’est la preuve que la sécurité et l’organisation ne sont pas des options, mais des fondamentaux intégrés dès la planche à dessin.
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Des sièges de première classe que les Allemands envient
Asseyez-vous au volant et vous comprendrez que le mot « confort » a été pris très au sérieux. Les sièges avant ne sont pas simplement chauffants et ventilés. Ils intègrent ce que KIA nomme la technologie « Ergo-Motion ». Il s’agit de sièges dynamiques utilisant des poches d’air internes pour offrir des micro-ajustements continus et des modes d’étirement qui combattent la fatigue sur les longs trajets. Activez la fonction « Étirement confortable » via l’écran central et le siège engagera une séquence douce pour le bassin et les lombaires. C’est le genre de technologie que l’on s’attend à trouver dans une berline de luxe coûtant le double du prix, pas dans un SUV familial. C’est un engagement clair envers le bien-être du conducteur qui va bien au-delà du simple maintien.
L’intelligence discrète au-delà des écrans
Notre époque est obsédée par la taille des écrans. Le Sorento en possède de superbes, c’est un fait. Mais sa véritable intelligence réside ailleurs, dans les détails qui facilitent la vie. Observez la console centrale : le chargeur à induction pour smartphone est placé à la verticale, dans un logement dédié. Votre téléphone ne glisse pas, reste visible et charge efficacement. Juste à côté, les ports USB sont intégrés sur les flancs des dossiers des sièges avant, un emplacement parfait pour que les passagers arrière puissent brancher leurs appareils sans qu’un câble ne traverse tout l’habitacle. Et que dire de ce petit compartiment secret, presque invisible, situé à gauche sous le volant ? C’est l’endroit idéal pour ranger une carte de parking ou des lunettes. C’est cette ergonomie réfléchie qui prouve la supériorité d’un design centré sur l’humain.
Le design « Opposites United » qui change tout
Le Sorento restylé est le porte-étendard de la philosophie de design de KIA, « Opposites United » (L’Alliance des Contraires). Le concept est simple mais puissant : fusionner des éléments qui semblent contradictoires pour créer une tension visuelle harmonieuse. Le Sorento incarne le pilier « Bold for Nature » (Audacieux par Nature). La face avant, avec ses phares verticaux et sa calandre massive, dégage une assurance brute, presque inspirée d’un grand SUV américain comme le Telluride. Pourtant, les lignes de carrosserie sont tendues, élégantes et sophistiquées. Ce n’est plus un véhicule qui cherche à plaire à tout le monde. C’est un objet de design affirmé, qui possède une véritable présence sur la route sans être agressif.
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La troisième rangée n’est plus une punition
Dans beaucoup de SUV, les deux places du fond relèvent davantage de la punition que du transport. KIA a repensé leur usage. L’accès est facilité par un bouton situé sur le côté du siège de la deuxième rangée, qui le fait basculer et coulisser en un seul geste. Mais le vrai coup de génie se trouve dans le coffre. Au lieu de se battre avec des sièges lourds, de simples sangles permettent de les relever ou de les rabattre sans effort. Mieux encore, les occupants de la troisième rangée disposent de leurs propres aérateurs, de porte-gobelets et même d’une prise 12V. Ce ne sont plus des places d’appoint, mais un espace de vie pensé pour des passagers à part entière.
Un traitement de luxe pour les passagers arrière
L’attention portée aux passagers ne s’arrête pas à la troisième rangée. Ceux du deuxième rang sont particulièrement choyés. Le détail le plus marquant, souvent réservé aux segments supérieurs, est la présence de pare-soleil intégrés directement dans les portières. Fini les ventouses disgracieuses et inefficaces. Un simple geste suffit pour créer une ambiance plus tamisée et protéger les enfants du soleil. Combinés à des sièges coulissants et inclinables, à des aérateurs dédiés et aux fameux ports USB intégrés, ces éléments font du Sorento l’un des véhicules les plus accueillants de sa catégorie pour ceux qui ne sont pas au volant. Voyager en famille prend une toute autre dimension.
Le toit panoramique qui réinvente l’habitacle
Un toit ouvrant n’a rien de nouveau. Mais la manière dont celui du Sorento est intégré change la perception de l’espace. Il s’agit d’une immense surface vitrée en deux panneaux qui inonde l’habitacle de lumière, de la première à la deuxième rangée. L’effet est immédiat : la sensation d’espace est décuplée, le design intérieur est mis en valeur et le lien avec l’extérieur est renforcé. Sur une route de montagne ou lors d’un voyage nocturne en ville, l’expérience est transformée. Ce n’est pas une simple case cochée sur la liste des options ; c’est un élément de design à part entière qui contribue directement à l’émotion que procure le véhicule.
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Le KIA Sorento 2024 est une machine à surprises. Chaque détail, de la conception des sièges au plus petit compartiment de rangement, témoigne d’une volonté de dépasser les attentes. Il ne se contente pas de rivaliser avec ses concurrents sur le papier ; il les surclasse sur le terrain de l’intelligence pratique et de l’attention au détail. Ces sept faits ne sont qu’un aperçu d’un véhicule qui mérite bien plus qu’un simple coup d’œil. Il mérite un essai routier.