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Le Honda Passport 2026 : Révolution Attendue dans l’Univers des VUS Intermédiaires
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il y a 1 moissur
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Suzanne Alida
Le segment des véhicules utilitaires sport (VUS) intermédiaires est en constante ébullition, chaque constructeur s’efforçant de repousser les limites de l’innovation, du design et de la performance. Honda, acteur majeur de l’industrie automobile mondiale, s’apprête à redéfinir les attentes avec le lancement très anticipé du Honda Passport 2026. Ce nouveau millésime promet une transformation significative par rapport à ses prédécesseurs, adoptant une esthétique plus affirmée et intégrant des technologies de pointe. Nous plongeons ici au cœur des informations disponibles et des spéculations éclairées pour brosser un portrait détaillé de ce que nous pouvons attendre de ce VUS prometteur.
Une Histoire Réinventée : L’Évolution du Honda Passport
Avant d’explorer les nouveautés du modèle 2026, il convient de rappeler brièvement le parcours du Honda Passport. Initialement introduit dans les années 1990 en Amérique du Nord, le Passport était à l’époque le fruit d’une collaboration avec Isuzu, étant essentiellement un Rodeo rebadgé. Après une interruption, Honda a réintroduit le nom Passport en 2019 sur un modèle entièrement développé en interne, se positionnant comme un VUS à deux rangées plus robuste et aventureux que le populaire CR-V, et plus compact et agile que le Pilot à trois rangées. Cette stratégie a permis à Honda de cibler une clientèle en quête d’espace, de polyvalence et d’une capacité accrue pour les escapades hors des sentiers battus, sans pour autant nécessiter l’encombrement d’un grand VUS. Le millésime 2026 s’inscrit dans cette lignée tout en marquant une rupture stylistique et technologique notable.
Design Extérieur : Une Affirmation de Caractère et de Robustesse

Les premières images et les illustrations basées sur des prototypes camouflés du Honda Passport 2026 indiquent une orientation stylistique résolument plus audacieuse et robuste. Nous anticipons une rupture avec les lignes plus arrondies des générations précédentes au profit d’une silhouette plus carrée et musclée, s’inspirant potentiellement du design du Honda Pilot récemment renouvelé, mais avec une personnalité propre.
Principales Évolutions Attendues du Design Extérieur :
- Calandre Imposante : Une nouvelle calandre, probablement plus grande et plus verticale, devrait dominer la face avant, conférant au Passport une présence plus affirmée sur la route. Ce design pourrait intégrer des motifs alvéolés ou des barres horizontales proéminentes, soulignant son caractère baroudeur.
- Signature Lumineuse Moderne : Les optiques avant et arrière devraient bénéficier d’une refonte complète, intégrant des technologies LED avancées pour une signature lumineuse distinctive, de jour comme de nuit. Nous nous attendons à des phares plus effilés et à des feux arrière potentiellement reliés par un bandeau lumineux, une tendance actuelle dans le design automobile.
- Profil Plus Sculpté : Les flancs du véhicule pourraient adopter des lignes plus tendues et des passages de roues plus marqués, accentuant sa posture solide et sa capacité à affronter divers types de terrains.
- Protection Accrue : Des éléments de protection de carrosserie plus proéminents, tels que des sabots de protection avant et arrière et des moulures latérales robustes, pourraient être proposés, notamment sur les versions orientées tout-terrain.
- Nouvelles Jantes : Une gamme de jantes redessinées, probablement de 18 à 20 pouces, viendra compléter le look renouvelé, avec des designs spécifiques pour chaque niveau de finition.
Ces modifications visent non seulement à moderniser l’apparence du Passport mais aussi à renforcer sa perception de véhicule capable et durable, prêt pour l’aventure.
Sous le Capot : Performances Attendues et Potentiel Hybride
Traditionnellement, le Honda Passport a été équipé d’un moteur V6 fiable et performant. Pour le modèle 2026, il est fort probable que Honda reconduise une version améliorée de son V6 de 3,5 litres. Ce moteur, réputé pour sa souplesse et sa puissance adéquate, pourrait bénéficier de quelques ajustements pour optimiser sa consommation de carburant et réduire ses émissions, sans sacrifier ses performances. Nous pourrions nous attendre à une puissance avoisinant les 280 à 290 chevaux et un couple généreux, transmis aux roues via une boîte de vitesses automatique à 9 ou 10 rapports.
La Perspective d’une Motorisation Hybride :
Dans le contexte actuel d’électrification croissante de l’automobile, il est de plus en plus plausible que Honda propose une option hybride pour le Passport 2026. Cette motorisation pourrait s’appuyer sur le système hybride à deux moteurs de Honda, déjà éprouvé sur d’autres modèles comme le CR-V Hybrid et l’Accord Hybrid. Une telle version offrirait plusieurs avantages :
- Réduction de la Consommation : Un argument de poids pour de nombreux acheteurs, notamment sur les marchés où le prix du carburant est élevé.
- Couple Instantané : L’apport du moteur électrique améliorerait la réactivité à bas régime et les accélérations.
- Conduite Silencieuse : En mode tout électrique sur de courtes distances ou à faible vitesse.
- Moins d’Émissions : Un atout environnemental non négligeable.
Si une version hybride se concrétise, elle positionnerait le Passport 2026 de manière très compétitive face à une concurrence qui s’électrifie rapidement.
Système de Transmission Intégrale :
Le système de traction intégrale i-VTM4 (Intelligent Variable Torque Management) de Honda, reconnu pour son efficacité, sera sans aucun doute reconduit. Ce système permet non seulement d’améliorer la motricité sur chaussée glissante ou en conditions tout-terrain légères, mais aussi d’optimiser la répartition du couple entre les roues arrière pour une meilleure agilité en virage. Des modes de conduite sélectionnables (Normal, Neige, Sable, Boue) devraient permettre d’adapter la réponse du véhicule aux conditions rencontrées.
Un Habitacle Réinventé : Luxe, Technologie et Espace
L’intérieur du Honda Passport 2026 devrait connaître une transformation majeure, s’alignant sur les standards les plus récents de la marque en matière de design, de matériaux et de technologie embarquée. Nous nous attendons à une montée en gamme significative, avec une attention particulière portée à l’ergonomie et au confort des occupants.
Au cœur de cette refonte intérieure, un nouveau tableau de bord, plus épuré et horizontal, devrait intégrer un écran tactile central plus grand pour le système d’infodivertissement. Cet écran, potentiellement de 9 ou 12 pouces selon les versions, offrirait une interface utilisateur améliorée, une meilleure réactivité et une compatibilité sans fil avec Apple CarPlay et Android Auto. Un combiné d’instrumentation numérique personnalisable pourrait également remplacer les compteurs analogiques traditionnels, fournissant au conducteur une multitude d’informations de manière claire et intuitive.
Qualité des Matériaux et Finition :
Honda devrait accorder une attention particulière à la qualité des matériaux utilisés. Nous anticipons des plastiques moussés sur la partie supérieure du tableau de bord et des portières, des inserts décoratifs plus sophistiqués (bois, aluminium brossé) et des selleries en cuir de meilleure facture sur les finitions haut de gamme. L’assemblage devrait, comme à l’accoutumée chez Honda, être rigoureux.
Confort et Modularité :
Le Passport étant un VUS à deux rangées, l’espace pour les passagers avant et arrière devrait rester généreux. Les sièges avant pourraient bénéficier de nouveaux designs offrant un meilleur maintien et un confort accru sur les longs trajets, avec des réglages électriques, le chauffage et la ventilation en option. La banquette arrière, spacieuse, devrait toujours offrir un excellent dégagement aux jambes et aux épaules. Le volume du coffre, déjà un point fort du modèle actuel, pourrait être optimisé grâce à un aménagement plus astucieux, conservant le pratique espace de rangement sous le plancher.
Technologies et Aides à la Conduite :
Le Honda Passport 2026 sera sans aucun doute équipé de la dernière génération de la suite de sécurité et d’aides à la conduite Honda Sensing. Celle-ci devrait inclure :
- Système de freinage à réduction d’impact (CMBS) avec détection des piétons.
- Régulateur de vitesse adaptatif (ACC) avec suivi à basse vitesse.
- Aide au maintien dans la voie (LKAS).
- Système d’atténuation de sortie de route (RDM).
- Reconnaissance des panneaux de signalisation.
- Surveillance des angles morts et alerte de trafic transversal arrière.
De nouvelles fonctionnalités, comme une caméra à 360 degrés améliorée et potentiellement des capacités de conduite semi-autonome plus avancées sur autoroute, pourraient également faire leur apparition.
Positionnement sur le Marché et Concurrence
Le Honda Passport évolue sur un segment compétitif, principalement en Amérique du Nord. Bien que sa commercialisation directe en France et en Europe ne soit pas systématique pour tous les modèles Honda conçus pour le marché américain, son évolution est observée avec intérêt. S’il venait à être disponible, même via des importateurs spécialisés, ou si ses innovations se retrouvaient sur des modèles européens, il se mesurerait à des VUS de taille similaire offrant un équilibre entre confort routier et capacités d’évasion.
Date de Sortie Attendue et Spéculations sur les Tarifs
Selon les informations initiales et le cycle de développement habituel des constructeurs, le Honda Passport 2026 devrait être officiellement dévoilé plus tard en 2025, avec une commercialisation débutant en fin d’année 2025 ou au début de l’année 2026 sur ses marchés principaux.
Concernant les tarifs, il est encore trop tôt pour des chiffres précis. Cependant, compte tenu des améliorations significatives en matière de design, de technologie et potentiellement de motorisations, nous pouvons nous attendre à une légère augmentation par rapport au modèle actuel. Honda s’efforce généralement de maintenir un positionnement prix compétitif par rapport à ses rivaux directs. Une version hybride, si elle est proposée, se situerait logiquement en haut de la grille tarifaire.
Le Honda Passport 2026 s’annonce comme une évolution majeure et très attendue. Avec un design extérieur plus affirmé et robuste, un intérieur profondément modernisé qui promet un bond en avant en termes de technologie et de raffinement, et la perspective de motorisations performantes incluant potentiellement une option hybride, ce VUS a tous les atouts pour séduire une large clientèle.
Honda Passport 2026 : La Nouvelle Ère du VUS Aventureux Dévoilée
Le segment des véhicules utilitaires sport (VUS) intermédiaires est en constante ébullition, chaque constructeur s’efforçant de repousser les limites de l’innovation, du design et de la performance. Dans ce contexte hautement compétitif, Honda s’apprête à marquer les esprits avec le lancement très attendu de son Honda Passport 2026. Ce nouveau millésime, qui a commencé à faire son apparition chez certains concessionnaires nord-américains au début de l’année 2025, promet une refonte significative, axée sur la robustesse, des capacités hors route améliorées et une technologie de pointe. Bien que principalement destiné au marché nord-américain, l’arrivée de ce Passport de nouvelle génération suscite un vif intérêt chez les amateurs de VUS du monde entier, y compris en France, curieux de découvrir cette nouvelle interprétation de l’aventure selon Honda. Nous allons explorer en profondeur les caractéristiques qui définissent ce véhicule prometteur.
Design Extérieur : Une Affirmation de Robustesse et d’Aventure
Le Honda Passport 2026 marque une rupture stylistique audacieuse, s’éloignant des lignes plus sages de la génération précédente pour embrasser une esthétique résolument plus robuste et aventurière. La philosophie de design, que certains décrivent comme « Born Wild » ou inspirée du style « sac à dos », se traduit par des formes plus affirmées et fonctionnelles.
Nous observons une transformation radicale de la face avant. Une calandre plus imposante et verticale domine, conférant au Passport une présence indéniable. Elle est encadrée par de nouveaux phares à LED au design plus agressif, souvent accompagnés de feux de jour distinctifs, parfois de couleur ambre sur les finitions TrailSport, renforçant son caractère. Le capot sculpté et surélevé contribue également à cette impression de puissance et de robustesse.
De profil, les ailes élargies et les passages de roue plus marqués, garnis de protections noires robustes, ne laissent aucun doute sur les prétentions du véhicule. La ligne de toit semble plus horizontale et se termine par un montant C redessiné, contribuant à cette nouvelle silhouette plus carrée et utilitaire. Des détails pratiques, comme la finition noir mat sur la partie arrière du toit, sont pensés pour protéger la carrosserie lors du transport d’équipements de plein air. Les nouvelles jantes en alliage, généralement de 18 pouces sur les versions TrailSport, sont chaussées de pneus tout-terrain performants. Des couleurs de carrosserie audacieuses, telles que « Orange Coucher de Soleil » ou « Vert Cendre Métallisé », viennent souligner cet esprit d’aventure.
L’arrière du véhicule n’est pas en reste, avec un design qui complète l’allure musclée de l’ensemble. Les feux arrière à LED ont été redessinés, et le hayon présente des lignes plus franches. Souvent, un pare-chocs proéminent et des plaques de protection visibles (parfois en acier) assoient davantage son look baroudeur. Des crochets de remorquage, parfois peints dans une couleur contrastante comme l’orange, peuvent être présents à l’avant, signalant ses aptitudes.
Capacités Hors Route : Conçu pour l’Exploration
Le Honda Passport 2026, et plus particulièrement ses déclinaisons TrailSport, a été sérieusement optimisé pour les escapades loin du bitume. Honda ne s’est pas contenté d’un simple kit carrosserie ; les améliorations sont techniques et substantielles.
Au cœur de ses aptitudes tout-terrain, nous trouvons le système de traction intégrale intelligent i-VTM4™ (Intelligent Variable Torque Management) de Honda. Ce système est capable de distribuer activement le couple non seulement entre les essieux avant et arrière (jusqu’à 70% à l’arrière), mais aussi latéralement entre les roues arrière. Cela permet d’améliorer la motricité et la maniabilité sur des surfaces glissantes ou inégales, en envoyant la puissance à la roue qui a le plus d’adhérence.
La suspension a été spécialement calibrée pour le tout-terrain, offrant un meilleur débattement et une absorption accrue des chocs, tout en s’efforçant de maintenir un confort acceptable sur route. Cette suspension est complétée par des pneus tout-terrain General Grabber™ (souvent de taille 275/60R18), conçus pour offrir une adhérence optimale sur une variété de surfaces, de la boue au gravier, en passant par les rochers.
La garde au sol a été optimisée, atteignant généralement 8,3 pouces (environ 21 cm), ce qui permet de franchir des obstacles plus importants sans endommager le soubassement. Les angles d’approche et de départ ont également été améliorés pour faciliter le passage sur des terrains escarpés. Pour protéger les composants vitaux, des plaques de protection en acier sont souvent installées sous le véhicule.
Sous le Capot : Performance et Efficacité du V6 Amélioré
Fidèle à une formule éprouvée mais optimisée, le Honda Passport 2026 est propulsé par un moteur V6. Il s’agit d’un V6 de 3,5 litres à SACT (Simple Arbre à Cames en Tête), qui a bénéficié d’améliorations pour développer une puissance d’environ 285 chevaux (SAE net à 6 100 tr/min) et un couple de 355 N·m (262 lb-pi) (SAE net à 5 000 tr/min). Ces chiffres représentent une légère augmentation par rapport à la génération précédente, promettant des accélérations franches et des reprises solides.
Un Habitacle Spacieux, Technologique et Confortable

À l’intérieur, le Honda Passport 2026 propose un environnement qui marie habilement robustesse perçue, confort moderne et technologie avancée. L’espace à bord reste l’un de ses points forts, offrant un volume généreux pour cinq passagers et leurs bagages.
Les aspects pratiques n’ont pas été oubliés. Le Passport 2026 regorge d’espaces de rangement intelligents, y compris une grande console centrale modulable. Un nombre impressionnant de porte-gobelets (jusqu’à 10), capables d’accueillir des bouteilles d’un litre, témoigne de l’attention portée aux détails pour les longs trajets. Une caractéristique unique, parfois disponible, est une table de pique-nique intégrée qui se range discrètement dans le compartiment de chargement arrière, une touche astucieuse pour les amateurs de plein air.
Le volume de chargement est conséquent, avec un espace généreux derrière la deuxième rangée. Un compartiment de rangement sous le plancher du coffre permet de dissimuler des objets de valeur ou d’organiser du matériel d’urgence. Il y a également de l’espace pour loger une roue de secours de taille normale avec un pneu tout-terrain, un détail crucial pour les aventuriers.
Pour les audiophiles, un système audio haut de gamme Bose à 12 haut-parleurs est proposé sur les versions TrailSport Touring, promettant une expérience sonore immersive.
Dimensions et Aspects Pratiques Clés
Pour mieux appréhender le gabarit du Honda Passport 2026, voici quelques dimensions typiques (pouvant légèrement varier selon les versions) :
- Empattement : environ 2 887 mm
- Longueur totale : environ 4 864 mm
- Largeur totale : environ 2 018 mm (sans les rétroviseurs)
- Hauteur totale : environ 1 857 mm
Ces dimensions le placent clairement dans la catégorie des VUS intermédiaires. Il est plus court que son grand frère, le Honda Pilot (qui propose trois rangées de sièges), ce qui lui confère une meilleure agilité, notamment en milieu urbain ou sur des sentiers plus étroits, sans pour autant sacrifier un volume intérieur très généreux pour cinq occupants.
En termes de volume de chargement, le Passport a toujours été l’un des meilleurs de sa catégorie. Derrière la deuxième rangée de sièges, nous pouvons nous attendre à un volume dépassant souvent les 1 100 litres. Lorsque la banquette arrière est rabattue (généralement en configuration 60/40), cet espace peut s’étendre à plus de 2 200 litres, offrant une surface de chargement plate et vaste, capable d’accueillir des objets volumineux. Le compartiment de rangement sous le plancher ajoute une polyvalence supplémentaire.
La capacité de remorquage, comme mentionné précédemment, est un atout important, se situant généralement autour de 2 268 kg (5 000 lbs) lorsqu’il est correctement équipé, ce qui le rend apte à tracter des caravanes de taille moyenne, des bateaux ou des remorques utilitaires.
Le Honda Passport 2026 demeure une vitrine du savoir-faire de la marque et une source d’inspiration pour les futurs développements. Pour les amateurs de VUS robustes et bien équipés, il représente une référence dont les qualités intrinsèques ne manqueront pas d’être observées avec attention, même de ce côté de l’Atlantique. Il incarne une vision de l’aventure automobile où la capacité ne se fait pas au détriment du confort ni de la technologie.
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Saviez-vous que la 765LT est secrètement une voiture de course de l’enfer ? La preuve en 5 points.
Publié
il y a 6 heuressur
20 juin 2025Par
Suzanne Alida
Ne vous laissez pas berner par ses clignotants et sa plaque d’immatriculation. La McLaren 765LT n’est pas une supercar. C’est une anomalie. Une machine de compétition si extrême qu’on se demande encore comment les ingénieurs de Woking ont réussi à convaincre les autorités de la laisser circuler en ville. Oubliez la fiche technique polie et le discours marketing. La 765LT est la matérialisation d’une philosophie simple : créer l’arme de route la plus engageante, la plus viscérale et la plus proche d’une voiture de course que l’argent puisse acheter. Beaucoup la voient comme une simple évolution de la 720S. Ils ont tort. C’est une réinterprétation radicale, un monstre allégé et dopé dont l’unique mission est de transformer chaque trajet en une séance de qualification sur le Nürburgring. Et nous avons cinq preuves irréfutables que son ADN provient directement de la piste.
Une Puissance Officiellement Sous-estimée, Volontairement
Le premier indice, et le plus savoureux, est le mensonge officiel de McLaren. La voiture s’appelle 765LT pour 765 chevaux « Pferdestärke » (PS). Un chiffre déjà colossal. Pourtant, tous les propriétaires et journalistes qui ont eu la chance de la passer sur un banc de puissance sont unanimes : ce chiffre est une plaisanterie. Dans la réalité, le V8 bi-turbo de 4,0 litres, retravaillé avec des pistons en aluminium forgé issus de la Senna, une pompe à carburant à plus haut débit et une gestion moteur sur-mesure, développe allègrement plus de 800 chevaux à la roue, et probablement près de 850 au vilebrequin. Ce n’est pas une simple optimisation, c’est une stratégie de communication. En sous-estimant la puissance, McLaren offre à ses clients le frisson de posséder une bête encore plus sauvage que promis, tout en affichant sur le papier des chiffres « raisonnables ». C’est une astuce de motoriste de course, où l’on garde toujours un peu de performance en réserve pour surprendre la concurrence.
L’Obsession de la Masse, Traquée au Gramme Près
En compétition, le poids est l’ennemi. Chaque gramme superflu est une fraction de seconde perdue. Cette obsession est au cœur de la conception de la 765LT. Les ingénieurs ont mené une chasse au poids si agressive qu’elle frise la folie. La ligne d’échappement intégrale en titane n’est pas là que pour la sonorité apocalyptique ; elle pèse 40% de moins que le système en acier de la 720S. Les vitrages sont plus fins, le capot arrière est en polycarbonate, la console centrale et les sièges baquets sont des coques de fibre de carbone nues. McLaren a même supprimé la climatisation et le système audio de la configuration de base, les reléguant au rang d’options gratuites pour les moins téméraires. Le résultat de cette cure d’amaigrissement drastique est une réduction de 80 kg par rapport à une 720S déjà svelte. Avec 1 339 kg (DIN), la 765LT atteint un rapport poids/puissance qui humilie la quasi-totalité de la production automobile.
L’Aérodynamique « Longtail », Un Héritage de la Compétition
Le badge « LT » (Longtail) n’est pas un simple outil marketing. C’est un label chargé d’histoire, né sur les circuits d’endurance dans les années 90 avec la F1 GTR « Longtail ». Il signifie que l’aérodynamique a été poussée à son paroxysme. La 765LT arbore une carrosserie allongée et entièrement repensée pour manipuler les flux d’air. Le nouveau splitter avant, les jupes latérales, le diffuseur arrière agressif et surtout, l’immense aileron actif « Longtail » travaillent de concert pour plaquer la voiture au sol. Le résultat est une augmentation de 25% de l’appui aérodynamique par rapport à la 720S. Cet appui supplémentaire n’est pas là pour le style ; il est crucial pour la stabilité à haute vitesse et l’efficacité en virage, permettant au pilote de freiner plus tard et d’accélérer plus tôt. C’est une voiture conçue pour aspirer l’asphalte, pas pour parader.
Un Châssis et des Freins Hérités de la Senna
Si le moteur est une bête, le châssis est le dresseur. La 765LT bénéficie de ressorts de suspension plus rigides et d’une mise à jour logicielle de son système Proactive Chassis Control II, la rendant plus affûtée et communicative. Mais la véritable pièce maîtresse se trouve derrière les jantes ultralégères. Le système de freinage n’est pas simplement inspiré de celui de l’hypercar de piste McLaren Senna, il en est directement issu. On parle ici de disques en carbone-céramique de dernière génération, pincés par des étriers monoblocs redoutables. Plus impressionnant encore, ces étriers intègrent une technologie de refroidissement directement inspirée de la Formule 1, avec des conduits d’air moulés qui réduisent la température des plaquettes de près de 50°C lors des sessions sur circuit. C’est le genre de matériel que l’on ne trouve habituellement que sur des voitures de course, garantissant une endurance et une puissance de décélération inhumaines, tour après tour.
Une Transmission Optimisée Pour la Brutalité
Avoir de la puissance, c’est bien. Pouvoir la transmettre instantanément au sol, c’est mieux. Les ingénieurs de McLaren ne se sont pas contentés d’augmenter la puissance ; ils ont recalibré toute la chaîne cinématique pour une performance maximale. La transmission à double embrayage à 7 rapports a vu ses ratios de démultiplication optimisés pour offrir une accélération enragée. Le résultat est une poussée qui ne s’arrête jamais. Les données officielles le confirment : la 765LT est 15% plus rapide en accélération en prise que la 720S. Chaque passage de rapport est un coup de fusil, une impulsion violente qui vous catapulte vers l’horizon. Cette recherche de l’accélération maximale, parfois au détriment du confort, est la signature d’une voiture conçue pour le chronomètre.
La McLaren 765LT n’est pas une supercar que l’on conduit, c’est une expérience que l’on survit. Chaque détail, du sifflement des turbos à la rigidité du châssis en passant par la violence des freinages, hurle son pedigree de course. Elle est la preuve que même à l’ère du tout numérique et de l’aseptisation, des ingénieurs passionnés peuvent encore créer une machine analogique, terrifiante et incroyablement désirable. Elle n’est pas secrètement une voiture de course. Elle l’est, ouvertement, et ne s’en excuse même pas.
NOUVELLES
Le « bouton magique » de la 911 Turbo S : 20 secondes de folie pure expliquées par les ingénieurs
Publié
il y a 22 heuressur
19 juin 2025Par
Suzanne Alida
Ce n’est pas seulement une voiture de sport ; c’est un prédateur alpha déguisé en costume de grand tourisme, une énigme de performance qui a passé les cinquante dernières années à perfectionner l’art de la vitesse brutale et efficace. Mais au cœur de la dernière génération se cache un secret, une petite commande circulaire rouge sur le volant qui transforme cette supercar déjà monstrueuse en une véritable catapulte terrestre. Il s’agit du bouton « Sport Response ». Les non-initiés pourraient le confondre avec un simple gadget, une astuce marketing. En réalité, c’est l’incarnation la plus pure de la philosophie Porsche : une performance maximale, accessible instantanément. C’est un bouton de dépassement, un bouton « push-to-pass », un bouton « libérez le Kraken ». Pour 20 secondes, il ne s’agit plus de conduire, mais de se téléporter.
L’anatomie d’un coup de foudre mécanique
Alors, que se passe-t-il réellement lorsque votre pouce appuie sur ce fameux bouton ? Oubliez la magie, bienvenue dans le monde de l’ingénierie obsessionnelle de Weissach. Le bouton Sport Response ne se contente pas d’augmenter la puissance ; il prépare toute la chaîne cinématique à une décharge de violence inouïe. La première action, et la plus cruciale, concerne la gestion des turbocompresseurs à géométrie variable (VTG). Le système anticipe votre besoin de puissance et prépare les turbos pour une réponse immédiate, éliminant ainsi le temps de latence, ce fameux « turbo lag ». Simultanément, la boîte de vitesses à double embrayage PDK, référence absolue du secteur, rétrograde instantanément vers le rapport optimal pour une accélération cataclysmique. Elle ne choisit pas le rapport inférieur, mais le rapport parfait, celui qui placera le moteur au cœur de sa plage de couple maximale. La cartographie du moteur est également réécrite à la volée, aiguisant la réponse de l’accélérateur à un niveau quasi télépathique. Chaque millimètre de pression sur la pédale de droite se traduit par une poussée massive et instantanée. C’est une préparation au combat, une mise en tension de chaque muscle mécanique de la voiture.
Vingt secondes en état d’apesanteur contrôlée
L’activation du système est confirmée par un compte à rebours de 20 secondes qui s’affiche sur le combiné d’instrumentation. Cette durée n’a pas été choisie au hasard. Selon les ingénieurs de Porsche, elle représente la fenêtre de temps idéale pour effectuer une manœuvre de dépassement audacieuse et sécuritaire sur route ouverte, ou pour optimiser une sortie de virage sur circuit. C’est une durée suffisamment longue pour atomiser une file de camions et suffisamment courte pour rester dans le domaine du contrôle absolu. L’expérience est viscérale. Le son du flat-six change, devenant plus rauque, plus agressif. La poussée vous plaque au fond du siège baquet avec une force qui semble vouloir séparer votre âme de votre corps. Le paysage devient flou, et les distances se contractent. C’est une distorsion de l’espace-temps qui ne dure que 20 secondes, mais qui imprime un souvenir indélébile dans le cerveau du pilote. Ce n’est pas juste une accélération, c’est une affirmation de supériorité technologique et dynamique.
Une inspiration directe du sport automobile
Ce concept de « boost » temporaire n’est pas né dans un bureau de marketing. Son ADN provient directement de l’arène la plus impitoyable qui soit : la course automobile. Il s’agit de l’adaptation pour la route du système « push-to-pass » utilisé dans des championnats comme l’IndyCar, où les pilotes disposent d’un nombre limité d’activations pour obtenir un surcroît de puissance afin de dépasser leurs concurrents. Porsche, avec ses 19 victoires au classement général des 24 Heures du Mans, maîtrise parfaitement l’art de la performance stratégique. Le Sport Response Button est la démocratisation de cette philosophie. Il offre au conducteur de « tous les jours » un outil autrefois réservé aux pilotes professionnels. C’est une reconnaissance que la performance ultime ne réside pas seulement dans les chiffres bruts, mais dans la manière et le moment où cette performance est délivrée. C’est un avantage tactique qui transforme chaque trajet en une expérience de pilotage active et engageante.
L’évolution T-Hybrid : la synergie parfaite
Avec l’avènement de la nouvelle génération 992.2 et son innovante motorisation T-Hybrid, la fonction Sport Response entre dans une nouvelle dimension. Le système n’est plus seulement une conversation entre le moteur thermique et la boîte de vitesses ; il intègre désormais un troisième acteur : le moteur électrique. Lorsqu’on active le mode, le moteur électrique, agissant comme un e-turbo, n’aide pas seulement à combler le couple à bas régime, il fournit également une poussée supplémentaire instantanée, travaillant en parfaite synergie avec les turbocompresseurs traditionnels. Le résultat est une réponse encore plus immédiate, encore plus écrasante. La transition entre la poussée électrique et la furie du flat-six biturbo est totalement imperceptible, créant une vague de couple continue et implacable. Porsche n’a pas seulement ajouté une batterie et un moteur ; ils ont utilisé l’électrification pour sublimer l’expérience de conduite et rendre leur arme secrète encore plus redoutable.
Le verdict d’Africars24 : bien plus qu’un bouton
En définitive, le Sport Response Button est une parfaite métaphore de la Porsche 911 Turbo S elle-même. Il représente la dualité d’une machine capable de se comporter comme une GT docile et confortable, puis de se métamorphoser en une hypercar dévoreuse d’asphalte à la simple pression d’un bouton. Ce n’est pas un gadget, mais l’aboutissement d’une approche de design et d’ingénierie centrée sur l’expérience du pilote. Il donne au conducteur un sentiment de contrôle absolu, la certitude de disposer d’une réserve de puissance phénoménale, prête à être déchaînée à tout instant. Dans un monde où les supercars deviennent de plus en plus complexes, Porsche a réussi à distiller l’essence même de la performance dans un geste simple, intuitif et incroyablement jouissif. C’est peut-être ça, le vrai génie : cacher une technologie de pointe derrière une interface si simple qu’elle en devient magique.
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Le Lincoln Navigator est-il le SUV le plus sous-coté de la décennie ?
Publié
il y a 1 joursur
19 juin 2025Par
Suzanne Alida
Le Cadillac Escalade domine les conversations avec son aura bling-bling et sa présence culturelle massive. Le Range Rover séduit avec son blason aristocratique et ses capacités tout-terrain légendaires. Et plus récemment, le Jeep Grand Wagoneer a fait une entrée fracassante, jouant la carte de la nouveauté et du gigantisme à l’américaine. Au milieu de ce vacarme médiatique, une silhouette imposante mais sereine trace sa propre route : le Lincoln Navigator. Souvent mentionné, mais rarement célébré à sa juste valeur, il incarne une forme de luxe plus discrète, presque intellectuelle. Cette retenue, loin d’être une faiblesse, pourrait bien être sa plus grande force. Et si, en cherchant le plus ostentatoire, on était passé à côté du meilleur ? Et si le Navigator était, en réalité, le véritable coup de génie silencieux de cette dernière décennie ?
L’audace tranquille d’un design qui refuse de crier

L’esthétique du Navigator est un cours magistral de retenue et de confiance en soi. Là où l’Escalade opte pour des angles vifs et une calandre qui semble vouloir dévorer la route, le Navigator choisit la fluidité et l’élégance. Ses lignes sont longues, ininterrompues, évoquant davantage le fuselage d’un jet privé que la brutalité d’un char d’assaut. La calandre, bien que massive, est un motif complexe et raffiné, surtout quand le logo Lincoln s’illumine doucement à votre approche, dans une séquence de bienvenue chorégraphiée qui donne le ton. C’est ce que Lincoln appelle « Quiet Flight », un manifeste de design visant à transformer chaque trajet en une expérience apaisante. Cette philosophie se prolonge jusqu’aux feux arrière, une fine lame rouge qui traverse toute la largeur du véhicule, créant une signature nocturne unique, reconnaissable entre mille. Ce n’est pas un design qui cherche l’approbation à grands cris ; il l’obtient par sa cohérence et son souci obsessionnel du détail. C’est un luxe qui murmure, là où les autres hurlent.
Sous le capot, le choix de l’intelligence face à la tradition
L’un des plus grands débats dans cette catégorie concerne le cœur de la bête. Alors que la concurrence s’accroche encore fièrement à la tradition du V8 atmosphérique, Lincoln a fait un pari audacieux il y a plusieurs années : un V6. Mais pas n’importe lequel. Le moteur 3.5L EcoBoost bi-turbo qui équipe le Navigator 2024 est une merveille d’ingénierie. Il développe une puissance colossale de 440 chevaux et, plus important encore, un couple de 691 Nm disponible très bas dans les tours. Le résultat est une accélération instantanée, sans effort, presque électrique dans sa linéarité. Il surpasse en couple la plupart de ses rivaux à moteur V8, ce qui se traduit par une capacité de remorquage supérieure et une réactivité déconcertante pour un véhicule de ce gabarit. Ce choix n’est pas un compromis, c’est une déclaration. Lincoln a compris que le luxe moderne ne réside pas dans le nombre de cylindres, mais dans l’efficacité et l’intelligence de la performance.
Un sanctuaire nommé Black Label

C’est en ouvrant la portière que le Navigator cesse d’être sous-coté pour devenir carrément bluffant. L’habitacle, surtout dans ses finitions Black Label, est sans doute le plus abouti et le plus audacieux du marché. Lincoln ne propose pas simplement des couleurs de cuir, mais des thèmes complets, des univers narratifs qui transforment l’intérieur en un véritable espace de vie. Le thème « Chalet » évoque un refuge alpin moderne avec ses cuirs blancs et son bois d’eucalyptus argenté. Le « Invitation » vous plonge dans une ambiance plus sombre et intime, avec des placages en bois de Khaya qui rappellent une bibliothèque privée. Chaque détail, des grilles de haut-parleurs du système Revel Ultima 3D aux 30 réglages possibles des sièges « Perfect Position », a été pensé pour le confort sensoriel. La technologie est omniprésente mais jamais intrusive. L’écran central de 13,2 pouces, avec son interface SYNC 4, est réactif et intuitif, tandis que le système de conduite semi-autonome BlueCruise permet d’avaler des centaines de kilomètres sur autoroute dans une sérénité absolue. C’est ici que le Navigator creuse un écart décisif : il ne se contente pas d’être luxueux, il a une âme.
Le confort comme performance ultime
Conduire le Navigator, c’est redéfinir sa notion de la performance. La performance ici n’est pas la brutalité d’un 0 à 100 km/h, même s’il est étonnamment rapide. La véritable performance, c’est la capacité de la suspension adaptative à lire la route en amont grâce à une caméra et à préparer l’amortissement pour effacer littéralement les imperfections. C’est le silence de cathédrale qui règne à bord, même à 130 km/h, fruit d’un vitrage acoustique et d’un système de réduction active du bruit. C’est la facilité déconcertante avec laquelle ce géant de près de 6 mètres de long se manœuvre, aidé par une armée de capteurs et de caméras. Le Navigator ne cherche pas à être une voiture de sport déguisée en SUV. Il assume pleinement son rôle de cocon, de jet privé pour l’asphalte, dont la mission première est de transporter ses occupants dans un confort et une quiétude que peu de véhicules au monde peuvent égaler. Alors, sous-coté ? Sans l’ombre d’un doute. Dans une décennie marquée par la surenchère et l’esbroufe, le Lincoln Navigator a fait le pari de l’élégance, de l’intelligence et du bien-être. Il ne s’adresse pas à ceux qui veulent être vus, mais à ceux qui, arrivés à destination, savent apprécier la qualité du voyage.

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