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Le Honda Passport 2026 : Révolution Attendue dans l’Univers des VUS Intermédiaires

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Le Honda Passport 2026 : Révolution Attendue dans l’Univers des VUS Intermédiaires, Africars24

Le segment des véhicules utilitaires sport (VUS) intermédiaires est en constante ébullition, chaque constructeur s’efforçant de repousser les limites de l’innovation, du design et de la performance. Honda, acteur majeur de l’industrie automobile mondiale, s’apprête à redéfinir les attentes avec le lancement très anticipé du Honda Passport 2026. Ce nouveau millésime promet une transformation significative par rapport à ses prédécesseurs, adoptant une esthétique plus affirmée et intégrant des technologies de pointe. Nous plongeons ici au cœur des informations disponibles et des spéculations éclairées pour brosser un portrait détaillé de ce que nous pouvons attendre de ce VUS prometteur.

Une Histoire Réinventée : L’Évolution du Honda Passport

Avant d’explorer les nouveautés du modèle 2026, il convient de rappeler brièvement le parcours du Honda Passport. Initialement introduit dans les années 1990 en Amérique du Nord, le Passport était à l’époque le fruit d’une collaboration avec Isuzu, étant essentiellement un Rodeo rebadgé. Après une interruption, Honda a réintroduit le nom Passport en 2019 sur un modèle entièrement développé en interne, se positionnant comme un VUS à deux rangées plus robuste et aventureux que le populaire CR-V, et plus compact et agile que le Pilot à trois rangées. Cette stratégie a permis à Honda de cibler une clientèle en quête d’espace, de polyvalence et d’une capacité accrue pour les escapades hors des sentiers battus, sans pour autant nécessiter l’encombrement d’un grand VUS. Le millésime 2026 s’inscrit dans cette lignée tout en marquant une rupture stylistique et technologique notable.

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Design Extérieur : Une Affirmation de Caractère et de Robustesse

Le Honda Passport 2026 : Révolution Attendue dans l’Univers des VUS Intermédiaires, Africars24

Les premières images et les illustrations basées sur des prototypes camouflés du Honda Passport 2026 indiquent une orientation stylistique résolument plus audacieuse et robuste. Nous anticipons une rupture avec les lignes plus arrondies des générations précédentes au profit d’une silhouette plus carrée et musclée, s’inspirant potentiellement du design du Honda Pilot récemment renouvelé, mais avec une personnalité propre.

Principales Évolutions Attendues du Design Extérieur :

  • Calandre Imposante : Une nouvelle calandre, probablement plus grande et plus verticale, devrait dominer la face avant, conférant au Passport une présence plus affirmée sur la route. Ce design pourrait intégrer des motifs alvéolés ou des barres horizontales proéminentes, soulignant son caractère baroudeur.
  • Signature Lumineuse Moderne : Les optiques avant et arrière devraient bénéficier d’une refonte complète, intégrant des technologies LED avancées pour une signature lumineuse distinctive, de jour comme de nuit. Nous nous attendons à des phares plus effilés et à des feux arrière potentiellement reliés par un bandeau lumineux, une tendance actuelle dans le design automobile.
  • Profil Plus Sculpté : Les flancs du véhicule pourraient adopter des lignes plus tendues et des passages de roues plus marqués, accentuant sa posture solide et sa capacité à affronter divers types de terrains.
  • Protection Accrue : Des éléments de protection de carrosserie plus proéminents, tels que des sabots de protection avant et arrière et des moulures latérales robustes, pourraient être proposés, notamment sur les versions orientées tout-terrain.
  • Nouvelles Jantes : Une gamme de jantes redessinées, probablement de 18 à 20 pouces, viendra compléter le look renouvelé, avec des designs spécifiques pour chaque niveau de finition.

Ces modifications visent non seulement à moderniser l’apparence du Passport mais aussi à renforcer sa perception de véhicule capable et durable, prêt pour l’aventure.

Sous le Capot : Performances Attendues et Potentiel Hybride

Traditionnellement, le Honda Passport a été équipé d’un moteur V6 fiable et performant. Pour le modèle 2026, il est fort probable que Honda reconduise une version améliorée de son V6 de 3,5 litres. Ce moteur, réputé pour sa souplesse et sa puissance adéquate, pourrait bénéficier de quelques ajustements pour optimiser sa consommation de carburant et réduire ses émissions, sans sacrifier ses performances. Nous pourrions nous attendre à une puissance avoisinant les 280 à 290 chevaux et un couple généreux, transmis aux roues via une boîte de vitesses automatique à 9 ou 10 rapports.

La Perspective d’une Motorisation Hybride :

Dans le contexte actuel d’électrification croissante de l’automobile, il est de plus en plus plausible que Honda propose une option hybride pour le Passport 2026. Cette motorisation pourrait s’appuyer sur le système hybride à deux moteurs de Honda, déjà éprouvé sur d’autres modèles comme le CR-V Hybrid et l’Accord Hybrid. Une telle version offrirait plusieurs avantages :

  • Réduction de la Consommation : Un argument de poids pour de nombreux acheteurs, notamment sur les marchés où le prix du carburant est élevé.
  • Couple Instantané : L’apport du moteur électrique améliorerait la réactivité à bas régime et les accélérations.
  • Conduite Silencieuse : En mode tout électrique sur de courtes distances ou à faible vitesse.
  • Moins d’Émissions : Un atout environnemental non négligeable.

Si une version hybride se concrétise, elle positionnerait le Passport 2026 de manière très compétitive face à une concurrence qui s’électrifie rapidement.

Système de Transmission Intégrale :

Le système de traction intégrale i-VTM4 (Intelligent Variable Torque Management) de Honda, reconnu pour son efficacité, sera sans aucun doute reconduit. Ce système permet non seulement d’améliorer la motricité sur chaussée glissante ou en conditions tout-terrain légères, mais aussi d’optimiser la répartition du couple entre les roues arrière pour une meilleure agilité en virage. Des modes de conduite sélectionnables (Normal, Neige, Sable, Boue) devraient permettre d’adapter la réponse du véhicule aux conditions rencontrées.

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Un Habitacle Réinventé : Luxe, Technologie et Espace

L’intérieur du Honda Passport 2026 devrait connaître une transformation majeure, s’alignant sur les standards les plus récents de la marque en matière de design, de matériaux et de technologie embarquée. Nous nous attendons à une montée en gamme significative, avec une attention particulière portée à l’ergonomie et au confort des occupants.

Au cœur de cette refonte intérieure, un nouveau tableau de bord, plus épuré et horizontal, devrait intégrer un écran tactile central plus grand pour le système d’infodivertissement. Cet écran, potentiellement de 9 ou 12 pouces selon les versions, offrirait une interface utilisateur améliorée, une meilleure réactivité et une compatibilité sans fil avec Apple CarPlay et Android Auto. Un combiné d’instrumentation numérique personnalisable pourrait également remplacer les compteurs analogiques traditionnels, fournissant au conducteur une multitude d’informations de manière claire et intuitive.

Qualité des Matériaux et Finition :

Honda devrait accorder une attention particulière à la qualité des matériaux utilisés. Nous anticipons des plastiques moussés sur la partie supérieure du tableau de bord et des portières, des inserts décoratifs plus sophistiqués (bois, aluminium brossé) et des selleries en cuir de meilleure facture sur les finitions haut de gamme. L’assemblage devrait, comme à l’accoutumée chez Honda, être rigoureux.

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Confort et Modularité :

Le Passport étant un VUS à deux rangées, l’espace pour les passagers avant et arrière devrait rester généreux. Les sièges avant pourraient bénéficier de nouveaux designs offrant un meilleur maintien et un confort accru sur les longs trajets, avec des réglages électriques, le chauffage et la ventilation en option. La banquette arrière, spacieuse, devrait toujours offrir un excellent dégagement aux jambes et aux épaules. Le volume du coffre, déjà un point fort du modèle actuel, pourrait être optimisé grâce à un aménagement plus astucieux, conservant le pratique espace de rangement sous le plancher.

Technologies et Aides à la Conduite :

Le Honda Passport 2026 sera sans aucun doute équipé de la dernière génération de la suite de sécurité et d’aides à la conduite Honda Sensing. Celle-ci devrait inclure :

  • Système de freinage à réduction d’impact (CMBS) avec détection des piétons.
  • Régulateur de vitesse adaptatif (ACC) avec suivi à basse vitesse.
  • Aide au maintien dans la voie (LKAS).
  • Système d’atténuation de sortie de route (RDM).
  • Reconnaissance des panneaux de signalisation.
  • Surveillance des angles morts et alerte de trafic transversal arrière.

De nouvelles fonctionnalités, comme une caméra à 360 degrés améliorée et potentiellement des capacités de conduite semi-autonome plus avancées sur autoroute, pourraient également faire leur apparition.

Positionnement sur le Marché et Concurrence

Le Honda Passport évolue sur un segment compétitif, principalement en Amérique du Nord. Bien que sa commercialisation directe en France et en Europe ne soit pas systématique pour tous les modèles Honda conçus pour le marché américain, son évolution est observée avec intérêt. S’il venait à être disponible, même via des importateurs spécialisés, ou si ses innovations se retrouvaient sur des modèles européens, il se mesurerait à des VUS de taille similaire offrant un équilibre entre confort routier et capacités d’évasion.

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Date de Sortie Attendue et Spéculations sur les Tarifs

Selon les informations initiales et le cycle de développement habituel des constructeurs, le Honda Passport 2026 devrait être officiellement dévoilé plus tard en 2025, avec une commercialisation débutant en fin d’année 2025 ou au début de l’année 2026 sur ses marchés principaux.

Concernant les tarifs, il est encore trop tôt pour des chiffres précis. Cependant, compte tenu des améliorations significatives en matière de design, de technologie et potentiellement de motorisations, nous pouvons nous attendre à une légère augmentation par rapport au modèle actuel. Honda s’efforce généralement de maintenir un positionnement prix compétitif par rapport à ses rivaux directs. Une version hybride, si elle est proposée, se situerait logiquement en haut de la grille tarifaire.

Le Honda Passport 2026 s’annonce comme une évolution majeure et très attendue. Avec un design extérieur plus affirmé et robuste, un intérieur profondément modernisé qui promet un bond en avant en termes de technologie et de raffinement, et la perspective de motorisations performantes incluant potentiellement une option hybride, ce VUS a tous les atouts pour séduire une large clientèle.

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Honda Passport 2026 : La Nouvelle Ère du VUS Aventureux Dévoilée

Le segment des véhicules utilitaires sport (VUS) intermédiaires est en constante ébullition, chaque constructeur s’efforçant de repousser les limites de l’innovation, du design et de la performance. Dans ce contexte hautement compétitif, Honda s’apprête à marquer les esprits avec le lancement très attendu de son Honda Passport 2026. Ce nouveau millésime, qui a commencé à faire son apparition chez certains concessionnaires nord-américains au début de l’année 2025, promet une refonte significative, axée sur la robustesse, des capacités hors route améliorées et une technologie de pointe. Bien que principalement destiné au marché nord-américain, l’arrivée de ce Passport de nouvelle génération suscite un vif intérêt chez les amateurs de VUS du monde entier, y compris en France, curieux de découvrir cette nouvelle interprétation de l’aventure selon Honda. Nous allons explorer en profondeur les caractéristiques qui définissent ce véhicule prometteur.

Design Extérieur : Une Affirmation de Robustesse et d’Aventure

Le Honda Passport 2026 marque une rupture stylistique audacieuse, s’éloignant des lignes plus sages de la génération précédente pour embrasser une esthétique résolument plus robuste et aventurière. La philosophie de design, que certains décrivent comme « Born Wild » ou inspirée du style « sac à dos », se traduit par des formes plus affirmées et fonctionnelles.

Nous observons une transformation radicale de la face avant. Une calandre plus imposante et verticale domine, conférant au Passport une présence indéniable. Elle est encadrée par de nouveaux phares à LED au design plus agressif, souvent accompagnés de feux de jour distinctifs, parfois de couleur ambre sur les finitions TrailSport, renforçant son caractère. Le capot sculpté et surélevé contribue également à cette impression de puissance et de robustesse.

De profil, les ailes élargies et les passages de roue plus marqués, garnis de protections noires robustes, ne laissent aucun doute sur les prétentions du véhicule. La ligne de toit semble plus horizontale et se termine par un montant C redessiné, contribuant à cette nouvelle silhouette plus carrée et utilitaire. Des détails pratiques, comme la finition noir mat sur la partie arrière du toit, sont pensés pour protéger la carrosserie lors du transport d’équipements de plein air. Les nouvelles jantes en alliage, généralement de 18 pouces sur les versions TrailSport, sont chaussées de pneus tout-terrain performants. Des couleurs de carrosserie audacieuses, telles que « Orange Coucher de Soleil » ou « Vert Cendre Métallisé », viennent souligner cet esprit d’aventure.

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L’arrière du véhicule n’est pas en reste, avec un design qui complète l’allure musclée de l’ensemble. Les feux arrière à LED ont été redessinés, et le hayon présente des lignes plus franches. Souvent, un pare-chocs proéminent et des plaques de protection visibles (parfois en acier) assoient davantage son look baroudeur. Des crochets de remorquage, parfois peints dans une couleur contrastante comme l’orange, peuvent être présents à l’avant, signalant ses aptitudes.

Capacités Hors Route : Conçu pour l’Exploration

Le Honda Passport 2026, et plus particulièrement ses déclinaisons TrailSport, a été sérieusement optimisé pour les escapades loin du bitume. Honda ne s’est pas contenté d’un simple kit carrosserie ; les améliorations sont techniques et substantielles.

Au cœur de ses aptitudes tout-terrain, nous trouvons le système de traction intégrale intelligent i-VTM4™ (Intelligent Variable Torque Management) de Honda. Ce système est capable de distribuer activement le couple non seulement entre les essieux avant et arrière (jusqu’à 70% à l’arrière), mais aussi latéralement entre les roues arrière. Cela permet d’améliorer la motricité et la maniabilité sur des surfaces glissantes ou inégales, en envoyant la puissance à la roue qui a le plus d’adhérence.

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La suspension a été spécialement calibrée pour le tout-terrain, offrant un meilleur débattement et une absorption accrue des chocs, tout en s’efforçant de maintenir un confort acceptable sur route. Cette suspension est complétée par des pneus tout-terrain General Grabber™ (souvent de taille 275/60R18), conçus pour offrir une adhérence optimale sur une variété de surfaces, de la boue au gravier, en passant par les rochers.

La garde au sol a été optimisée, atteignant généralement 8,3 pouces (environ 21 cm), ce qui permet de franchir des obstacles plus importants sans endommager le soubassement. Les angles d’approche et de départ ont également été améliorés pour faciliter le passage sur des terrains escarpés. Pour protéger les composants vitaux, des plaques de protection en acier sont souvent installées sous le véhicule.

Sous le Capot : Performance et Efficacité du V6 Amélioré

Fidèle à une formule éprouvée mais optimisée, le Honda Passport 2026 est propulsé par un moteur V6. Il s’agit d’un V6 de 3,5 litres à SACT (Simple Arbre à Cames en Tête), qui a bénéficié d’améliorations pour développer une puissance d’environ 285 chevaux (SAE net à 6 100 tr/min) et un couple de 355 N·m (262 lb-pi) (SAE net à 5 000 tr/min). Ces chiffres représentent une légère augmentation par rapport à la génération précédente, promettant des accélérations franches et des reprises solides.

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Un Habitacle Spacieux, Technologique et Confortable

Le Honda Passport 2026 : Révolution Attendue dans l’Univers des VUS Intermédiaires, Africars24

À l’intérieur, le Honda Passport 2026 propose un environnement qui marie habilement robustesse perçue, confort moderne et technologie avancée. L’espace à bord reste l’un de ses points forts, offrant un volume généreux pour cinq passagers et leurs bagages.

Les aspects pratiques n’ont pas été oubliés. Le Passport 2026 regorge d’espaces de rangement intelligents, y compris une grande console centrale modulable. Un nombre impressionnant de porte-gobelets (jusqu’à 10), capables d’accueillir des bouteilles d’un litre, témoigne de l’attention portée aux détails pour les longs trajets. Une caractéristique unique, parfois disponible, est une table de pique-nique intégrée qui se range discrètement dans le compartiment de chargement arrière, une touche astucieuse pour les amateurs de plein air.

Le volume de chargement est conséquent, avec un espace généreux derrière la deuxième rangée. Un compartiment de rangement sous le plancher du coffre permet de dissimuler des objets de valeur ou d’organiser du matériel d’urgence. Il y a également de l’espace pour loger une roue de secours de taille normale avec un pneu tout-terrain, un détail crucial pour les aventuriers.

Pour les audiophiles, un système audio haut de gamme Bose à 12 haut-parleurs est proposé sur les versions TrailSport Touring, promettant une expérience sonore immersive.

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Dimensions et Aspects Pratiques Clés

Pour mieux appréhender le gabarit du Honda Passport 2026, voici quelques dimensions typiques (pouvant légèrement varier selon les versions) :

  • Empattement : environ 2 887 mm
  • Longueur totale : environ 4 864 mm
  • Largeur totale : environ 2 018 mm (sans les rétroviseurs)
  • Hauteur totale : environ 1 857 mm

Ces dimensions le placent clairement dans la catégorie des VUS intermédiaires. Il est plus court que son grand frère, le Honda Pilot (qui propose trois rangées de sièges), ce qui lui confère une meilleure agilité, notamment en milieu urbain ou sur des sentiers plus étroits, sans pour autant sacrifier un volume intérieur très généreux pour cinq occupants.

En termes de volume de chargement, le Passport a toujours été l’un des meilleurs de sa catégorie. Derrière la deuxième rangée de sièges, nous pouvons nous attendre à un volume dépassant souvent les 1 100 litres. Lorsque la banquette arrière est rabattue (généralement en configuration 60/40), cet espace peut s’étendre à plus de 2 200 litres, offrant une surface de chargement plate et vaste, capable d’accueillir des objets volumineux. Le compartiment de rangement sous le plancher ajoute une polyvalence supplémentaire.

La capacité de remorquage, comme mentionné précédemment, est un atout important, se situant généralement autour de 2 268 kg (5 000 lbs) lorsqu’il est correctement équipé, ce qui le rend apte à tracter des caravanes de taille moyenne, des bateaux ou des remorques utilitaires.

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Le Honda Passport 2026 demeure une vitrine du savoir-faire de la marque et une source d’inspiration pour les futurs développements. Pour les amateurs de VUS robustes et bien équipés, il représente une référence dont les qualités intrinsèques ne manqueront pas d’être observées avec attention, même de ce côté de l’Atlantique. Il incarne une vision de l’aventure automobile où la capacité ne se fait pas au détriment du confort ni de la technologie.

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Saviez-vous que la SL 63 peut se recharger en roulant ? On vous explique ce tour de magie.

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Saviez-vous que la SL 63 peut se recharger en roulant ? On vous explique ce tour de magie., Africars24

Loin des discours édulcorés sur l’efficience et les petits trajets en silence, Mercedes-AMG a détourné la technologie hybride pour la transformer en une arme de performance brute. Le porte-étendard de cette philosophie radicale est la nouvelle Mercedes-AMG SL 63 S E Performance. Un roadster de 2,3 tonnes et 816 chevaux qui cache un secret fascinant : une capacité à régénérer son énergie avec une agressivité telle qu’elle redéfinit la notion même de conduite. Ce n’est pas de l’écologie, c’est de la sorcellerie mécanique puisée directement dans les paddocks de la Formule 1. On vous explique comment ce « tour de magie » fonctionne et pourquoi il change absolument tout.

Le cœur de l’illusion : bien plus qu’un simple hybride

Pour comprendre la SL 63 S E Performance, il faut d’abord effacer de son esprit l’image d’une Toyota Prius. Ici, le système hybride n’est pas un accessoire destiné à réduire la consommation, mais le cœur d’une stratégie de puissance instantanée. AMG nomme cela « E Performance ». La pièce maîtresse est une batterie Haute Performance (HPB) de 6,1 kWh, développée en interne à Affalterbach. Sa mission n’est pas de vous emmener au bureau en mode furtif sur des dizaines de kilomètres, comme en témoigne son autonomie dérisoire de 13 km. Sa véritable vocation est d’encaisser et de délivrer de l’énergie à une vitesse fulgurante, une caractéristique héritée directement des monoplaces de Lewis Hamilton. Cette batterie est conçue pour être constamment sollicitée, vidée et rechargée plusieurs fois lors d’une seule attaque sur une route de montagne ou un circuit.

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La mécanique de la magie : comment ça marche vraiment ?

Le secret de cette auto-recharge réside dans un système de freinage régénératif configurable sur quatre niveaux, sélectionnables via un bouton sur le volant. Au niveau 0, la voiture se comporte comme un véhicule thermique classique, en roue libre lorsque vous levez le pied. Au niveau 1, une légère récupération d’énergie se met en place, à peine perceptible. Les niveaux 2 et 3, en revanche, transfigurent l’expérience. Le niveau 3 est si puissant qu’il permet ce que les ingénieurs appellent la conduite « One-Pedal ». En levant simplement le pied de l’accélérateur, la voiture décélère si fort que les feux de stop s’allument. Le moteur électrique, situé sur l’essieu arrière, inverse sa fonction pour devenir un générateur, récupérant jusqu’à 100 kW de puissance pour recharger la batterie. C’est une force de décélération massive qui rend l’usage de la pédale de frein presque superflu dans de nombreuses situations de conduite dynamique.

Une symphonie de puissance, pas seulement une fonction

Cette régénération agressive n’est pas un gadget. C’est la clé qui permet au V8 biturbo de 4,0 litres et au moteur électrique de 204 chevaux de fonctionner en parfaite harmonie. En gardant la batterie toujours à un niveau de charge optimal, le système garantit que le « boost » électrique est disponible à chaque sortie de virage, à chaque ré-accélération. La voiture ne s’essouffle jamais. En mode Sport+ ou Race, le système est calibré pour que l’énergie récupérée lors d’un freinage appuyé soit immédiatement prête à être redéployée pour la ligne droite suivante. C’est un cycle perpétuel de puissance. Le système gère intelligemment le flux d’énergie pour s’assurer que le conducteur dispose toujours de la totalité des 1420 Nm de couple. C’est une approche qui privilégie la constance de la performance maximale plutôt que l’endurance électrique.

La connexion F1 : du cockpit de Hamilton à votre garage

L’analogie avec la Formule 1 n’est pas un simple argument marketing. La batterie de la SL 63 utilise une technologie de refroidissement direct révolutionnaire. Chacune des 560 cellules est refroidie individuellement par un liquide non conducteur qui circule autour d’elle. Ce système maintient la batterie à une température de fonctionnement idéale et constante d’environ 45°C, qu’elle soit en pleine charge ou en pleine décharge. C’est ce qui lui permet d’offrir des performances répétées sans surchauffe ni baisse de puissance, un problème courant sur les batteries lithium-ion conventionnelles. C’est une technologie conçue pour la guerre du chrono, où chaque milliseconde compte, et elle se retrouve aujourd’hui sous le capot d’un cabriolet de Grand Tourisme.

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Un aperçu du futur d’AMG ?

Le système de régénération de la SL 63 S E Performance est bien plus qu’une simple fonctionnalité technique. C’est une déclaration d’intention. À une époque où le V8 est en sursis, AMG ne se contente pas de l’électrifier pour survivre ; la marque le réinvente pour le rendre encore plus monstrueux. Cette technologie n’a pas pour but de sauver la planète, mais de préserver l’âme d’AMG dans un monde qui change. Elle apprend au conducteur une nouvelle danse, un nouveau rythme où la décélération devient une partie intégrante de l’accélération. C’est un pont intelligent et spectaculaire jeté entre un héritage thermique glorieux et un avenir électrique inévitable. La magie de la SL 63, ce n’est pas de rouler sans essence, c’est de transformer chaque freinage en une promesse de puissance à venir.

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Payer 300 000€ pour des pannes ? La vérité choquante sur la fiabilité de la nouvelle Aston Martin

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Payer 300 000€ pour des pannes ? La vérité choquante sur la fiabilité de la nouvelle Aston Martin, Africars24

L’Aston Martin DB12 est une pure sculpture. Une promesse sur roues. Présentée non pas comme une simple « Grand Tourer » mais comme la première « Super Tourer » au monde, elle a tout pour elle : une ligne à couper le souffle qui affine la silhouette déjà sublime de la DB11, un habitacle enfin à la hauteur du blason et une puissance de feu qui la propulse au sommet de sa catégorie. Le V8 bi-turbo de 4.0 litres, d’origine AMG mais entièrement revu par les sorciers de Gaydon, développe 680 chevaux dans une symphonie mécanique enivrante. Sur papier et lors des premiers essais, la DB12 est un triomphe absolu, une machine qui justifie son ticket d’entrée stratosphérique qui dépasse allègrement les 300 000 euros avec quelques options bien senties. Mais derrière la façade de perfection et les superlatifs de la presse, une autre réalité, bien moins glorieuse, commence à émerger des témoignages des premiers propriétaires. Une réalité faite de voyants moteur allumés, d’écrans noirs et de visites imprévues à l’atelier, qui pose une question brutale : le rêve Aston Martin se transforme-t-il en cauchemar une fois le chèque signé ?

Le Rêve et la Dure Réalité du Club des Premiers Adopteurs

Payer 300 000€ pour des pannes ? La vérité choquante sur la fiabilité de la nouvelle Aston Martin, Africars24

Devenir propriétaire d’une nouvelle Aston Martin, c’est entrer dans un club très fermé. C’est l’aboutissement d’un parcours, la concrétisation d’une passion. Les premiers clients de la DB12 ont partagé avec enthousiasme les photos de leur acquisition, célébrant un design qui fait l’unanimité et des performances qui redéfinissent les standards. Pourtant, après l’euphorie des premiers kilomètres, les forums spécialisés comme PistonHeads ou Aston Martin Life ont vu fleurir des récits beaucoup moins idylliques. Des témoignages précis et récurrents qui dessinent le portrait d’une voiture magnifique mais tourmentée par des démons électroniques. Le plus cité est sans conteste le tristement célèbre « Check Engine Light » (voyant moteur) qui s’allume de manière intempestive, parfois après seulement quelques centaines de kilomètres. Si les concessionnaires évoquent souvent des « capteurs trop sensibles » nécessitant une simple recalibration, l’angoisse de voir un tel avertissement sur une voiture neuve de ce calibre laisse des traces. Ce n’est pas un incident isolé, mais un schéma qui semble se répéter, transformant l’excitation de la possession en une anxiété latente à chaque démarrage.

Sous le Capot : Une Mécanique d’Exception, une Électronique Capricieuse ?

Il faut le dire sans détour : le cœur mécanique de la DB12 est une merveille. Le travail d’Aston Martin pour transcender le bloc AMG est palpable. Le couple monumental de 800 Nm est disponible très tôt, offrant des reprises cataclysmiques, le tout géré par une boîte automatique ZF à 8 rapports réactive et intelligente. La puissance est telle qu’elle surclasse non seulement sa devancière à moteur V12, mais aussi ses concurrentes les plus directes. Cependant, toute cette brutalité mécanique est orchestrée par une architecture électronique entièrement nouvelle et complexe. Le point névralgique semble être le tout nouveau système d’infodivertissement, développé pour la première fois en interne par Aston Martin. Salué comme une libération après des années à utiliser l’ancien système COMAND de Mercedes, il est au centre de nombreuses frustrations. Des propriétaires rapportent des écrans qui se figent, un système de navigation qui perd le nord, des connexions Apple CarPlay et Android Auto qui s’interrompent sans raison. Ces « gremlins » électroniques, bien que souvent bénins, sabotent l’expérience de luxe et de sérénité que l’on attend d’un véhicule de ce rang.

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Le Paradoxe du « Handmade in Gaydon » : Entre Artisanat et Fiabilité

Payer 300 000€ pour des pannes ? La vérité choquante sur la fiabilité de la nouvelle Aston Martin, Africars24

La force d’Aston Martin a toujours résidé dans son image d’artisanat, de voitures assemblées à la main avec une âme que les constructeurs de masse ne peuvent répliquer. Le cuir pleine fleur, les boiseries précieuses, l’ajustement des panneaux de carrosserie, tout cela contribue à la légende. Mais en 2025, une voiture n’est plus seulement une mécanique et un châssis ; c’est un ordinateur sur roues. Le paradoxe de la DB12 est là : comment concilier un héritage de fabrication manuelle avec les exigences de fiabilité logicielle d’un produit technologique de pointe ? La multiplication des bugs électroniques suggère que les processus de validation logicielle et de contrôle qualité peinent à suivre la complexité croissante des systèmes embarqués. Le client ne paie pas seulement pour un moteur et un design, il paie pour une expérience globale sans faille. Et c’est là que le bât blesse. Quand la technologie censée améliorer la vie à bord devient la principale source d’irritation, l’ensemble du contrat de confiance est remis en question.

Le Verdict : Investissement Passion ou Gouffre Financier ?

Alors, faut-il fuir la DB12 ? Certainement pas. Il est impossible de nier ses qualités exceptionnelles. Elle est probablement la GT la plus complète et la plus désirable du marché actuel. Sa conduite est un pur chef-d’œuvre d’équilibre entre le confort d’une grand tourisme et l’agressivité d’une supercar. Cependant, l’acheteur potentiel doit être conscient de la situation. Il n’achète pas une Porsche 911, réputée pour sa fiabilité quasi-infaillible. Il achète une Aston Martin, avec tout le caractère et, semble-t-il, les caprices que cela implique. La marque doit impérativement réagir vite avec des mises à jour logicielles robustes et un service après-vente irréprochable pour rassurer son exigeante clientèle. Car à plus de 300 000 euros, les pannes ne sont pas une option. La DB12 est et restera un achat purement passionnel. Mais même la passion la plus ardente peut être refroidie par une succession de pannes et de frustrations. La beauté excuse beaucoup de choses, mais peut-elle vraiment tout pardonner ?

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Les 5 pannes les plus terrifiantes (et coûteuses) que les propriétaires d’AMG GT redoutent plus que tout

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Les 5 pannes les plus terrifiantes (et coûteuses) que les propriétaires d’AMG GT redoutent plus que tout, Africars24

Posséder une Mercedes-AMG GT, c’est bien plus qu’une simple déclaration de réussite. C’est un pacte. Un accord tacite que l’on passe avec une machine au design bestial et à l’âme de prédateur. Ce capot interminable, cet arrière trapu prêt à bondir, c’est la promesse d’une expérience de conduite viscérale, orchestrée par la symphonie rauque et menaçante du V8 biturbo. Mais comme dans toute relation passionnelle, l’extase a un prix, et l’ignorance peut transformer le rêve en un gouffre financier.

Car sous cette carrosserie sculpturale se cache une ingénierie de pointe, une mécanique d’exception où la moindre défaillance se chiffre non pas en centaines, mais en milliers, voire en dizaines de milliers d’euros. Nous avons enquêté dans les coulisses des ateliers spécialisés et sur les forums où les propriétaires partagent leurs cauchemars pour dresser la liste noire. Voici les 5 pannes qui glacent le sang de quiconque tient les clés d’une AMG GT.

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La sentence de la boîte de vitesses DCT

Les 5 pannes les plus terrifiantes (et coûteuses) que les propriétaires d’AMG GT redoutent plus que tout, Africars24

La boîte de vitesses AMG Speedshift DCT à 7 rapports, logée en position transaxle pour une répartition des masses parfaite, est un bijou de technologie. Ses changements de rapports sont d’une rapidité foudroyante sur circuit. Mais dans le monde réel, elle peut se transformer en source d’angoisse. Les premiers signes sont souvent des à-coups à basse vitesse, une hésitation qui brise l’illusion de perfection. Ces symptômes peuvent annoncer une usure prématurée des packs d’embrayage, une réparation déjà conséquente.

Le véritable cauchemar, cependant, est la défaillance complète du mécatronique, le cerveau électronique et hydraulique de la boîte. Lorsque ce dernier rend l’âme, la voiture se retrouve immobilisée, et la sentence du concessionnaire est souvent sans appel : un remplacement complet de la transmission. Une opération dont le coût peut facilement dépasser celui d’une citadine neuve bien équipée, transformant une simple panne en une décision financière majeure.

Le talon d’Achille en fibre de carbone : l’arbre de transmission

Pour atteindre un niveau de performance stratosphérique, les ingénieurs d’Affalterbach ont fait des choix radicaux. L’un des plus impressionnants sur les premières AMG GT S était l’arbre de transmission en fibre de carbone. Une pièce magnifique, incroyablement légère et rigide, capable de supporter le couple monstrueux du V8 sans la moindre inertie. Sur le papier, c’est l’arme absolue. En pratique, cette pièce s’est révélée être une fragilité notoire sur certains modèles.

Le problème ? Contrairement à un arbre en acier, il ne se tord pas, il se brise. Et le lien entre le moteur et les roues étant rompu, la voiture devient une sculpture inerte. Le coût de remplacement de cette pièce unique, fabriquée avec une précision d’orfèvre, est astronomique. Mercedes a par la suite remplacé ce composant par une version en acier plus conventionnelle sur certains modèles, un aveu silencieux que même la perfection a ses limites.

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Le silence radio : quand l’électronique vous abandonne

Une supercar moderne est autant un ordinateur sur roues qu’une merveille mécanique. L’AMG GT ne fait pas exception, avec ses kilomètres de faisceaux, ses dizaines de capteurs et son système d’infodivertissement COMAND qui contrôle tout, de la navigation à la dureté des suspensions. Et c’est là que le bât blesse. Une panne électronique est souvent plus insidieuse qu’un problème mécanique. Elle ne prévient pas.

Du jour au lendemain, l’écran central peut rester noir, les capteurs d’aide au stationnement peuvent devenir fous, ou, plus classiquement, une décharge de batterie inexpliquée peut vous laisser bloqué le matin. Le diagnostic de ces pannes fantômes est un véritable casse-tête pour les techniciens, et chaque heure de main-d’œuvre est facturée au prix fort. Remplacer un simple module peut coûter plusieurs milliers d’euros, une pilule difficile à avaler pour une voiture qui refuse de démarrer à cause d’un caprice de silicium.

Le cœur de la bête : les caprices du V8 M178

Soyons clairs : le V8 4.0 litres biturbo, nom de code M178, est un chef-d’œuvre et une mécanique globalement fiable. Il est conçu pour encaisser des contraintes extrêmes. Cependant, la perfection n’existe pas. Les problèmes les plus courants, bien que rares, concernent souvent son environnement « Hot-V », où les deux turbocompresseurs sont nichés au creux du V. Cette configuration génère une chaleur intense.

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Des fuites d’huile au niveau des turbos ont été rapportées, une intervention qui nécessite souvent de déposer le moteur, faisant grimper la facture de main-d’œuvre de manière exponentielle. De même, les supports moteur dynamiques, qui s’adaptent pour plus de confort ou de sportivité, peuvent défaillir. Si le cœur de la bête est solide, les organes qui l’entourent peuvent parfois montrer des signes de faiblesse coûteux.

L’amortisseur de facture : la suspension adaptative

Les 5 pannes les plus terrifiantes (et coûteuses) que les propriétaires d’AMG GT redoutent plus que tout, Africars24

Pour coller à la route comme elle le fait, l’AMG GT utilise une suspension AMG RIDE CONTROL sophistiquée. Chaque amortisseur est géré électroniquement pour s’adapter en millisecondes à l’état de la route et au style de conduite. Le résultat est bluffant, offrant un grand écart entre un confort acceptable pour une GT et une fermeté de pistarde. Le revers de la médaille est qu’un amortisseur n’est plus une simple pièce mécanique.

Lorsqu’un de ces composants high-tech vient à fuir ou à tomber en panne, il ne peut être remplacé par un modèle standard. Le coût d’un seul amortisseur adaptatif peut choquer, et la recommandation quasi systématique est de les remplacer par paire pour maintenir l’équilibre du châssis. La facture pour le remplacement d’un seul essieu peut ainsi rapidement transformer une simple « pièce d’usure » en un investissement majeur.

L’AMG GT reste une machine d’exception, une sculpture automobile qui procure des émotions rares. La choisir, c’est accepter sa complexité et les risques inhérents à toute supercar. C’est une voiture qui se mérite non seulement à l’achat, mais tout au long de sa vie. La passion a un prix, et dans le cas de la GT, il est parfois écrit en tout petit sur le devis d’un atelier.

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