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Nouvelle BMW M3 Xdrive Compétition 2022 : la charismatique berline de 503 ch en détails

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Nouvelle BMW M3 Xdrive Compétition 2022 : la charismatique berline de 503 ch en détails, Africars24

La nouvelle BMW M3 combine des proportions puissantes et un design distinctif à quatre portes et à 3 boîtes avec la sportivité typique de //M Performance. En tête du quatuor des véhicules audacieux se trouve la berline de compétition BMW M3 avec ses impressionnants 503 ch et 650 N.m de couple. Équipé d’un moteur BMW M Twinpower Turbo hautes performances, d’une transmission M Steptronic à 8 rapports avec Drivelogic, d’une transmission intégrale M xDrive (en option), d’un différentiel M actif et de nombreuses technologies dérivées du sport automobile, il garantit une dynamique de conduite maximale, tant au quotidien et sur la piste de course… Bref, un pur bijoux et surtout u magnifique jouet pour adultes… Appréciez

Nouvelle BMW M3 Xdrive Compétition 2022 : la charismatique berline de 503 ch en détails, Africars24

NOTES ET PERFORMANCES

  • Le modèle ici mis en exergue est un M3 Competiton de 2021
  • Il dispose sous son capot d;un magnifique moteur Essence 06 cylindres en ligne de 3.0 L
  • Ce moteur développe une puissance de 503 ch et 650 N.m de couple
  • Elle est capable d’une accélération de 0 à 100 Km/h en à peine 3.9 secondes
  • Sa vitesse de pointe est établie à 290 Km/h
  • La couleur ici est ,un Frozen Dark Grey
  • Son prix de base est de

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Les 5 détails de la Ferrari 812 Superfast que vous n’aviez jamais remarqués

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Les 5 détails de la Ferrari 812 Superfast que vous n’aviez jamais remarqués, Africars24

La Ferrari 812 Superfast n’est pas juste une voiture. C’est une déclaration. Un monument de 800 chevaux qui hurle sa supériorité à travers un V12 atmosphérique, une espèce en voie de disparition que Maranello chérit comme son plus grand trésor. Mais au-delà du vacarme assourdissant et des performances stratosphériques, la 812 Superfast est une machine d’une complexité et d’une subtilité rares. Son design, signé du Centre de Style Ferrari sous la direction de Flavio Manzoni, est un chef-d’œuvre fonctionnel où chaque courbe, chaque prise d’air, chaque détail a une raison d’être. Oubliez ce que vous pensez savoir. Nous allons décortiquer cinq détails secrets qui prouvent que le génie se cache, comme toujours, dans ce que l’œil non averti ne voit pas.

Le « By-pass » Aérodynamique du Flanc Arrière

Les 5 détails de la Ferrari 812 Superfast que vous n’aviez jamais remarqués, Africars24

Observez le flanc arrière de la 812, juste derrière la vitre de custode. Vous y verrez une entrée d’air sculptée avec une élégance folle. Beaucoup pensent qu’il s’agit d’un simple refroidissement pour les freins ou le différentiel. L’erreur est classique. Il s’agit en réalité d’une solution aérodynamique incroyablement astucieuse héritée de la très exclusive F12tdf. Nommée « aerodynamic by-pass », cette ouverture capte l’air à haute pression s’écoulant le long du flanc et le canalise à travers la carrosserie pour le faire ressortir plus loin, créant ainsi une dépression qui plaque littéralement la voiture au sol. Cette astuce permet d’augmenter l’appui vertical sans avoir recours à un aileron arrière massif et disgracieux, préservant ainsi la pureté de la ligne « fastback ». C’est l’exemple parfait de la philosophie de Ferrari : la fonction crée la forme, mais elle doit le faire avec une beauté et une intelligence spectaculaires.

L’Hommage Subtil à la 365 GTB/4 « Daytona »

Les 5 détails de la Ferrari 812 Superfast que vous n’aviez jamais remarqués, Africars24

Le design de la 812 Superfast est résolument moderne, agressif, presque futuriste. Pourtant, son ADN est profondément ancré dans l’histoire de la marque. La silhouette générale, avec sa ligne de toit fuyante et sa queue haute et tronquée, est un hommage direct à l’une des plus grandes icônes de Maranello : la Ferrari 365 GTB/4 de 1969, surnommée « Daytona ». Cette filiation est renforcée par un autre détail capital : le retour des quatre feux arrière ronds. Après des années de feux simples sur les berlinettes V12 comme la 599 et la F12, la 812 renoue avec cette tradition qui a marqué des générations de Ferrari. C’est plus qu’un simple clin d’œil stylistique ; c’est une manière d’affirmer que cette machine ultra-technologique est l’héritière légitime d’une lignée de GT à moteur avant qui a défini l’âge d’or de l’automobile.

Les Volets Mobiles Cachés dans le Soubassement

La 812 Superfast est une sculpture, mais c’est aussi un laboratoire d’aérodynamique active. L’un de ses secrets les mieux gardés se trouve sous le pare-chocs avant. Intégrés au fond plat, des volets mobiles (active flaps) restent fermés à basse vitesse pour optimiser la pénétration dans l’air et réduire la traînée. Mais dès que le rythme s’accélère et que le besoin d’appui se fait sentir, ces volets s’ouvrent automatiquement. Ce mouvement modifie le flux d’air sous la voiture, augmentant considérablement la force d’appui sur le train avant pour garantir une stabilité et une précision chirurgicales en courbe rapide. C’est une technologie directement issue de la compétition, totalement invisible pour le profane, qui travaille en silence pour donner au pilote une confiance absolue, même lorsqu’il pousse la voiture dans ses derniers retranchements.

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La Révolution de la Direction Assistée Électrique

Pour les puristes, l’annonce a fait l’effet d’une bombe : la 812 Superfast est la toute première Ferrari de l’histoire à abandonner la direction assistée hydraulique pour un système électrique (EPS). Un sacrilège pour certains, qui craignaient une perte de ressenti et une déconnexion entre le pilote et la route. C’était mal connaître les ingénieurs de Maranello. Loin d’être une simple concession à la modernité, cette EPS a été développée comme une composante clé de la dynamique du véhicule. Elle travaille en tandem avec le système de roues arrière directrices (Virtual Short Wheelbase 2.0) et des assistances intelligentes comme le Ferrari Peak Performance (FPP), qui indique au pilote qu’il approche de la limite d’adhérence en faisant varier l’effort au volant. Le résultat est une direction d’une rapidité fulgurante mais qui communique avec une clarté cristalline, prouvant qu’une technologie moderne, si elle est maîtrisée à la perfection, peut surpasser la tradition.

Les Générateurs de Vortex Inspirés de la F1

Retournons sous la voiture, là où la magie noire de l’aérodynamique opère. Le fond plat de la 812 Superfast n’est pas lisse. Il est équipé de trois paires de « dams » (des mini-déflecteurs) incurvés qui agissent comme des générateurs de vortex. Cette technologie, directement inspirée de la Formule 1, crée de mini-tornades contrôlées sous la voiture. Ces tourbillons d’air accélèrent le flux, ce qui provoque une chute de pression et aspire littéralement l’auto vers le bitume. Cet effet de sol est si puissant qu’il est responsable à lui seul d’une augmentation de 30% de l’appui aérodynamique par rapport à la F12berlinetta. C’est un travail de l’ombre, invisible et silencieux, mais c’est l’un des principaux artisans des capacités ahurissantes de la 812 en virage. La prochaine fois que vous verrez une 812 Superfast, ne vous contentez pas d’admirer ses lignes. Pensez à l’air qu’elle sculpte, aux secrets qu’elle cache dans ses entrailles et à l’ingénierie qui la transforme en bien plus qu’une simple supercar : un chef-d’œuvre.

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7 faits surprenants sur le KIA Sorento 2024 qui vont vous faire reconsidérer votre prochain achat

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7 faits surprenants sur le KIA Sorento 2024 qui vont vous faire reconsidérer votre prochain achat, Africars24

Sous son design audacieux, presque sculptural, se cache un véhicule qui a obsessionnellement pensé à chaque détail. Loin d’être une simple alternative économique aux ténors européens, le Sorento est une leçon d’ingénierie et de design, truffée de secrets qui ne demandent qu’à être découverts. Si vous pensez qu’il ne s’agit que d’un autre SUV à sept places, préparez-vous à changer radicalement d’avis. Car ce ne sont pas les écrans géants ou la puissance brute qui définissent le Sorento, mais une série d’innovations discrètes et de touches de génie qui transforment chaque trajet.

Le sanctuaire caché sous le plancher de coffre

Au premier regard, le coffre du Sorento est simplement vaste. Mais soulevez le plancher rigide et vous ne trouverez pas seulement une roue de secours. KIA y a aménagé un véritable sanctuaire de praticité. Au-delà des compartiments de rangement profonds et bien agencés, on découvre des détails qui trahissent une conception pensée pour le monde réel. L’emplacement dédié pour le cache-bagages lorsque vous utilisez la troisième rangée, par exemple, est une solution simple à un problème agaçant que beaucoup de concurrents ignorent. On y trouve aussi, selon les marchés, des accessoires inattendus comme un kit de premiers secours ou même un extincteur. Ce n’est pas un gadget, c’est la preuve que la sécurité et l’organisation ne sont pas des options, mais des fondamentaux intégrés dès la planche à dessin.

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Des sièges de première classe que les Allemands envient

Asseyez-vous au volant et vous comprendrez que le mot « confort » a été pris très au sérieux. Les sièges avant ne sont pas simplement chauffants et ventilés. Ils intègrent ce que KIA nomme la technologie « Ergo-Motion ». Il s’agit de sièges dynamiques utilisant des poches d’air internes pour offrir des micro-ajustements continus et des modes d’étirement qui combattent la fatigue sur les longs trajets. Activez la fonction « Étirement confortable » via l’écran central et le siège engagera une séquence douce pour le bassin et les lombaires. C’est le genre de technologie que l’on s’attend à trouver dans une berline de luxe coûtant le double du prix, pas dans un SUV familial. C’est un engagement clair envers le bien-être du conducteur qui va bien au-delà du simple maintien.

L’intelligence discrète au-delà des écrans

Notre époque est obsédée par la taille des écrans. Le Sorento en possède de superbes, c’est un fait. Mais sa véritable intelligence réside ailleurs, dans les détails qui facilitent la vie. Observez la console centrale : le chargeur à induction pour smartphone est placé à la verticale, dans un logement dédié. Votre téléphone ne glisse pas, reste visible et charge efficacement. Juste à côté, les ports USB sont intégrés sur les flancs des dossiers des sièges avant, un emplacement parfait pour que les passagers arrière puissent brancher leurs appareils sans qu’un câble ne traverse tout l’habitacle. Et que dire de ce petit compartiment secret, presque invisible, situé à gauche sous le volant ? C’est l’endroit idéal pour ranger une carte de parking ou des lunettes. C’est cette ergonomie réfléchie qui prouve la supériorité d’un design centré sur l’humain.

Le design « Opposites United » qui change tout

Le Sorento restylé est le porte-étendard de la philosophie de design de KIA, « Opposites United » (L’Alliance des Contraires). Le concept est simple mais puissant : fusionner des éléments qui semblent contradictoires pour créer une tension visuelle harmonieuse. Le Sorento incarne le pilier « Bold for Nature » (Audacieux par Nature). La face avant, avec ses phares verticaux et sa calandre massive, dégage une assurance brute, presque inspirée d’un grand SUV américain comme le Telluride. Pourtant, les lignes de carrosserie sont tendues, élégantes et sophistiquées. Ce n’est plus un véhicule qui cherche à plaire à tout le monde. C’est un objet de design affirmé, qui possède une véritable présence sur la route sans être agressif.

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La troisième rangée n’est plus une punition

Dans beaucoup de SUV, les deux places du fond relèvent davantage de la punition que du transport. KIA a repensé leur usage. L’accès est facilité par un bouton situé sur le côté du siège de la deuxième rangée, qui le fait basculer et coulisser en un seul geste. Mais le vrai coup de génie se trouve dans le coffre. Au lieu de se battre avec des sièges lourds, de simples sangles permettent de les relever ou de les rabattre sans effort. Mieux encore, les occupants de la troisième rangée disposent de leurs propres aérateurs, de porte-gobelets et même d’une prise 12V. Ce ne sont plus des places d’appoint, mais un espace de vie pensé pour des passagers à part entière.

Un traitement de luxe pour les passagers arrière

L’attention portée aux passagers ne s’arrête pas à la troisième rangée. Ceux du deuxième rang sont particulièrement choyés. Le détail le plus marquant, souvent réservé aux segments supérieurs, est la présence de pare-soleil intégrés directement dans les portières. Fini les ventouses disgracieuses et inefficaces. Un simple geste suffit pour créer une ambiance plus tamisée et protéger les enfants du soleil. Combinés à des sièges coulissants et inclinables, à des aérateurs dédiés et aux fameux ports USB intégrés, ces éléments font du Sorento l’un des véhicules les plus accueillants de sa catégorie pour ceux qui ne sont pas au volant. Voyager en famille prend une toute autre dimension.

Le toit panoramique qui réinvente l’habitacle

Un toit ouvrant n’a rien de nouveau. Mais la manière dont celui du Sorento est intégré change la perception de l’espace. Il s’agit d’une immense surface vitrée en deux panneaux qui inonde l’habitacle de lumière, de la première à la deuxième rangée. L’effet est immédiat : la sensation d’espace est décuplée, le design intérieur est mis en valeur et le lien avec l’extérieur est renforcé. Sur une route de montagne ou lors d’un voyage nocturne en ville, l’expérience est transformée. Ce n’est pas une simple case cochée sur la liste des options ; c’est un élément de design à part entière qui contribue directement à l’émotion que procure le véhicule.

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Le KIA Sorento 2024 est une machine à surprises. Chaque détail, de la conception des sièges au plus petit compartiment de rangement, témoigne d’une volonté de dépasser les attentes. Il ne se contente pas de rivaliser avec ses concurrents sur le papier ; il les surclasse sur le terrain de l’intelligence pratique et de l’attention au détail. Ces sept faits ne sont qu’un aperçu d’un véhicule qui mérite bien plus qu’un simple coup d’œil. Il mérite un essai routier.

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Pourquoi 99% des gens ne comprendront jamais vraiment le luxe de la Rolls-Royce Spectre

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Pourquoi 99% des gens ne comprendront jamais vraiment le luxe de la Rolls-Royce Spectre, Africars24

Oubliez le prix. Sérieusement. Si votre première pensée face à la Rolls-Royce Spectre, ce monolithe électrique facturé à plus de 400 000 € hors options, est de la juger à l’aune de son coût, vous êtes déjà passé à côté de l’essentiel. C’est précisément pour cela que la quasi-totalité de la population observera cet objet roulant sans jamais saisir la véritable nature de son luxe. La Spectre n’est pas une voiture. C’est un manifeste. Une rébellion silencieuse contre un monde bruyant, pressé et standardisé. Son luxe ne se mesure pas en chevaux-vapeur ou en options cochées sur un catalogue, mais en décibels en moins, en heures de sérénité gagnées et en une exclusivité qui dépasse la simple surface financière. C’est une expérience sensorielle conçue pour une élite qui n’achète plus des objets, mais du temps et de la tranquillité.

Plus qu’une Voiture, un Sanctuaire Roulant

Pourquoi 99% des gens ne comprendront jamais vraiment le luxe de la Rolls-Royce Spectre, Africars24

Le passage à l’électrique n’était pas un choix pour Rolls-Royce, c’était une évidence. Pas pour des raisons écologiques, mais parce que cette technologie permet d’atteindre le but ultime de la marque depuis plus d’un siècle : le silence absolu. Le V12 maison était déjà une référence en matière de discrétion, mais le double moteur électrique de la Spectre, développant 585 chevaux et 900 Nm de couple, propulse l’expérience dans une autre dimension. Le 0 à 100 km/h en 4,5 secondes est anecdotique. La véritable performance est l’isolement total qu’il procure. Les ingénieurs ont utilisé plus de 150 kg de matériaux isolants et ont même poli les conduits d’air conditionné pour que l’air ne s’y exprime pas avec impolitesse. La suspension « Planar », capable de désaccoupler les barres anti-roulis en ligne droite, ne se contente pas de gommer les imperfections de la route, elle donne l’impression de flotter à quelques centimètres au-dessus. C’est ce que Rolls-Royce nomme le « Magic Carpet Ride », et jamais cette expression n’a été aussi juste.

Le Design : Un Dialogue entre Héritage et Futurisme Radical

La Spectre ne ressemble à aucune autre voiture électrique, car elle ne cherche pas à en être une. Elle est avant tout une Rolls-Royce. Sa silhouette massive de « fastback », inspirée des yachts les plus élégants, est une déclaration de présence. Chaque détail est un pont entre le passé et l’avenir. Le Spirit of Ecstasy, la célèbre statuette ornant le capot, a été affiné pendant plus de 830 heures en soufflerie pour être plus bas, plus dynamique, et contribuer au coefficient de traînée record de 0,25, faisant de la Spectre la Rolls-Royce la plus aérodynamique de l’histoire. La calandre Panthéon, la plus large jamais montée sur une Rolls, n’est pas là pour refroidir un moteur inexistant, mais pour être illuminée la nuit, offrant une signature lumineuse qui ne crie pas, mais qui murmure sa supériorité. Ce design n’est pas fait pour plaire à tout le monde. Il est fait pour affirmer que l’opulence et la grandeur ont leur place dans le futur, un futur silencieux et implacable.

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L’Artisanat à l’Ère Numérique : Le Luxe des Détails Invisibles

Pourquoi 99% des gens ne comprendront jamais vraiment le luxe de la Rolls-Royce Spectre, Africars24

C’est ici que la notion de luxe devient totalement incompréhensible pour le commun des mortels. L’intérieur de la Spectre est moins un habitacle qu’une galerie d’art privée. Pour la première fois, les « Starlight Doors » font leur apparition, intégrant 4 796 « étoiles » lumineuses dans les contre-portes, en plus du traditionnel ciel de toit étoilé. Le tableau de bord côté passager peut lui aussi être orné de plus de 5 500 étoiles formant le nom « Spectre ». Mais le véritable luxe est le programme « Bespoke ». Il ne s’agit pas de choisir la couleur de son cuir dans une palette de 20 teintes. Il s’agit de commander une œuvre unique. Un client peut demander à ce que le bois de l’habitacle provienne d’un arbre de sa propriété, à ce que le motif de la broderie sur les sièges reproduise un dessin de son enfant, ou à ce qu’une nouvelle couleur de carrosserie, portant son nom, soit créée et ne puisse plus jamais être utilisée par quelqu’un d’autre.

Un Club Exclusif, Pas un Achat

La raison fondamentale pour laquelle la Spectre est un concept si abstrait est que l’on ne l’achète pas comme on achète un produit. On reçoit une allocation. L’argent, bien que nécessaire, n’est pas le seul critère. La marque privilégie ses clients les plus loyaux et ceux dont le profil correspond à son image. La liste d’attente, qui s’étend sur plusieurs années, n’est pas un problème logistique, c’est un filtre. Ce processus transforme la transaction en une commission, un peu comme on commanderait un portrait à un grand maître. Posséder une Spectre, c’est intégrer un club dont les membres partagent une même vision du monde, où le luxe n’est pas l’affichage de la richesse, mais la capacité à s’en extraire. C’est acheter le silence, la personnalisation absolue, et l’assurance d’être dans un cocon que personne d’autre ne peut répliquer. Et cette idée, dans notre monde de production de masse, est le luxe le plus inaccessible qui soit.

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