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Aston Martin DBX 2023 : tout ce que vous devez savoir

Découvrez le SUV Aston Martin DBX 2023, une combinaison parfaite de luxe britannique et de puissance. Avec l’introduction du modèle DBX 707, ce véhicule tout-terrain offre des performances impressionnantes. Personnalisez-le selon vos préférences et profitez de son moteur V-8 biturbo de 697 chevaux.

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Aston Martin DBX 2023 : tout ce que vous devez savoir, Africars24

Lorsque l’on parle d’Aston Martin, on pense généralement à des bolides de luxe et de grand tourisme élégants et racés. Cependant, en 2023, la marque britannique a ajouté une corde à son arc avec le SUV Aston Martin DBX.

Aston Martin DBX 2023 : tout ce que vous devez savoir, Africars24

Un SUV de Caractère

L’Aston Martin DBX 2023 ne se contente pas d’avoir une silhouette de SUV, il est également imprégné de l’ADN sportif de la marque britannique. Bien qu’il soit plus imposant qu’une DB11 et moins agile qu’une Vantage, ce 4×4 surélevé offre un espace arrière utilisable, une capacité de chargement généreuse, et il est même capable de remorquer et de s’aventurer hors des sentiers battus. Si vous pensez que les Aston Martin sont réservées à une utilisation sur route, détrompez-vous.

La nouveauté pour 2023 : DBX 707

L’année 2023 apporte une grande nouveauté pour l’Aston Martin DBX, avec l’introduction du modèle DBX 707. Celui-ci est doté d’une version retravaillée du moteur V8 biturbo standard qui développe désormais 707 chevaux et un couple de 900 Nm. Pour encore plus de performances, la transmission automatique à neuf vitesses a été remplacée par une unité à embrayage humide. Ces chiffres représentent une augmentation impressionnante de 155 chevaux et 200 Nm par rapport au moteur standard. Le DBX 707 peut passer de 0 à 100 km/h en seulement 3,1 secondes et atteindre 200 km/h en 7,4 secondes. Pour arrêter ce SUV rapide, des freins en carbone céramique sont de série.

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Choix et personnalisation

Aston Martin propose une multitude d’options de personnalisation pour le DBX, notamment grâce à son service de personnalisation Q. L’outil de configuration en ligne de la société propose plusieurs packages d’apparence différents. À l’intérieur, l’option « Accélérer » avec son mélange de cuir et de suédine et les sièges Sport Plus sont particulièrement attrayants. Pour l’extérieur, optez pour la belle peinture verte « Minotaure » ainsi que les jantes « Ruban » de 22 pouces en noir et bronze. N’oubliez pas le pack de remorquage, le hayon électrique et le système d’échappement sport qui vous permettra de savourer encore plus la musique du moteur.

Aston Martin DBX 2023 : tout ce que vous devez savoir, Africars24

Performance sous le capot

Le DBX standard est propulsé par un moteur V-8 biturbo de 4,0 litres fourni par Mercedes-AMG. Il développe 550 chevaux et un couple de 700 Nm et est associé à une transmission automatique à neuf vitesses également fournie par Mercedes. Le DBX 707, quant à lui, dispose d’une version retravaillée du groupe motopropulseur AMG qui développe 707 chevaux et 900 Nm de couple. Sa transmission automatique à neuf vitesses utilise un embrayage humide au lieu du convertisseur de couple utilisé par la transmission standard. Bien que le DBX soit fondamentalement une propulsion arrière, une boîte de transfert central envoie le couple à l’essieu avant en cas de glissement à l’arrière. Il est également équipé d’un différentiel à glissement limité à l’arrière et peut remorquer jusqu’à 2694 kg.

Consommation de carburant

Selon la méthodologie de l’EPA, le DBX standard devrait afficher une consommation de carburant de 16,8 Litres / 100 km en ville et de 13 Litres / 100 km sur autoroute. Malheureusement, nous n’avons pas encore eu la chance d’évaluer la consommation réelle du modèle standard sur notre route d’autoroute à 90 km/h, qui fait partie de notre programme de tests approfondis. Cependant, nous mettrons à jour cet article dès que nous aurons les résultats. Pour plus d’informations sur la consommation de carburant du DBX, visitez le site web de l’EPA.

Intérieur, confort et espace de chargement

L’intérieur du DBX partage de nombreux éléments avec le reste de la famille Aston Martin. La cabine est recouverte de cuir joliment cousu, de surfaces douces au toucher et d’un ciel de toit en microsuède. Le SUV est équipé de série d’un tableau de bord numérique de 12,3 pouces, d’un éclairage d’ambiance personnalisable, de la climatisation tri-zone et de sièges chauffants à l’avant et à l’arrière. Parmi les options intéressantes, citons les sièges avant ventilés, le volant chauffant et divers matériaux de cabine encore plus luxueux. L’espace aux places arrière est généreux, avec suffisamment de place pour les genoux et la tête des adultes. Le volume de chargement est également conséquent, avec 622 Litres derrière la banquette arrière et 1529 Litres avec les sièges arrière rabattus.

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Aston Martin DBX 2023 : tout ce que vous devez savoir, Africars24

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Infodivertissement et connectivité

L’écran d’infodivertissement de 10,2 pouces, basé sur une interface Mercedes vieillissante, ne répond pas aux commandes tactiles. Vous contrôlez l’unité grâce aux boutons du volant ainsi qu’à un bouton rotatif sur la console centrale ; un pavé tactile intégré est en option. Le système comprend des fonctionnalités populaires telles que l’intégration d’Apple CarPlay, la navigation intégrée, une chaîne stéréo à 14 haut-parleurs et plusieurs prises de charge USB et 12 volts.

Sécurité et aides à la conduite

Le DBX est disponible avec certaines technologies d’aide à la conduite, mais la liste est étonnamment dépourvue de fonctions attendues telles que l’assistance au maintien de voie. Pour plus d’informations sur les résultats des tests de collision du DBX, visitez les sites web de l’Administration nationale de la sécurité routière (NHTSA) et de l’Institut d’assurance routière (IIHS).

Garantie et couverture d’entretien

La garantie actuelle d’Aston Martin DBX 2023 comprend une couverture limitée et une couverture du groupe motopropulseur qui ne se distinguent pas particulièrement. Les acheteurs peuvent opter pour des plans étendus incluant certaines visites d’entretien planifiées.

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  • La garantie limitée couvre trois ans et un nombre illimité de kilomètres.
  • La garantie du groupe motopropulseur couvre trois ans et un nombre illimité de kilomètres.
  • Aucun entretien planifié gratuit n’est inclus.

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Aston Martin DBX 707 2023 en vidéo

Aston Martin DBX 707 2023 en vidéo

Résumé

L’Aston Martin DBX 2023 est un SUV qui incarne l’élégance britannique tout en offrant des performances exceptionnelles. Avec l’introduction du modèle DBX 707, les amateurs de vitesse trouveront leur bonheur avec son moteur surpuissant. L’intérieur luxueux et l’abondance d’options de personnalisation en font un choix séduisant pour ceux qui recherchent l’exceptionnel. Cependant, la liste d’aides à la conduite pourrait être plus complète, et la consommation de carburant est dans la moyenne pour ce type de véhicule. En fin de compte, l’Aston Martin DBX 2023 est un SUV de caractère qui sait se démarquer.

Caractéristiques complètes de l’Aston Martin DBX 707 2023

SpécificationsValeurs
Année2023
ModèleAston Martin DBX 707
Type de véhiculeVéhicule tout-terrain à quatre portes, cinq places, à transmission intégrale
Prix de base239 086 €
DBX 707 AMR23 Edition260 000 €
MoteurV-8 biturbo à double suralimentation, DACT 32 soupapes, bloc et culasses en aluminium, injection directe de carburant
Cylindrée3 982 cm³
Puissance707 ch à 6 000 tr/min
Couple900 Nm à 4 500 tr/min
Boîte de vitessesAutomatique à 9 vitesses
Suspension avant/arrièreMultibras/Multibras
Freins avant/arrièreDisque carbone-céramique ventilé rainuré de 16,5 po / Disque carbone-céramique ventilé rainuré de 15,4 po
PneusAvant : 285/35ZR-23 (107Y) / Arrière : 325/30ZR-23 (109Y)
Empattement305 cm
Longueur503,9 cm
Largeur199,8 cm
Hauteur167,8 cm
Volume passager3086 Litres
Volume de chargement622,9 Litres
Poids à vide2326 kg
Accélération 0-100 km/h3,1 s
Accélération 0- 200 km/h7,9 s
402 mètres11,5 s à 191 km/h
Accélération 209 km/h14,2 s
Accélération 240 km/hh21,2 s
Démarrage en roulement, de 5 à 100 km/h4,5 s
Vitesse max, de 50 à 80 km/hh2,7 s
Vitesse max de 80 à 112 km/h3,1 s
Vitesse maximale (déclaration du constructeur)310 km/h
Distance de freinage, de 70 à 0 km/h12 m
Distance de freinage, de 100 à 0 km/h24 m
Adhérence en virage, patinage sur 25 m0,94 g
Consommation de carburant observée15.6 Litres /100 km
Consommation de carburant EPA (mixte/ville/autoroute)16,8 Litres / 100 km en ville et de 13 Litres / 100 km sur autoroute
Caractéristiques complètes de l’Aston Martin DBX 707 2023

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FAQ

Combien coûte l’Aston Martin DBX 707 ?

Le prix de base de l’Aston Martin DBX 707 est de 239 086 €.

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Quelles sont les performances du DBX 707 ?

Le DBX 707 peut accélérer de 0 à 100 km/h en seulement 3,1 secondes et atteindre une vitesse maximale de 193 mph.

Y a-t-il des options de personnalisation pour le DBX ?

Oui, Aston Martin offre de nombreuses options de personnalisation pour le DBX, notamment des packages d’apparence et des choix de matériaux intérieurs.

Le DBX 2023 est-il équipé d’aides à la conduite avancées ?

Le DBX propose certaines aides à la conduite, mais la liste est limitée par rapport à certains concurrents.

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Quelle est la consommation de carburant du DBX standard ?

Selon l’EPA, le DBX standard devrait avoir une consommation de carburant de 16,8 Litres / 100 km en ville et de 13 Litres / 100 km sur autoroute.

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Pourquoi 99% des gens ne comprendront jamais vraiment le luxe de la Rolls-Royce Spectre

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Pourquoi 99% des gens ne comprendront jamais vraiment le luxe de la Rolls-Royce Spectre, Africars24

Oubliez le prix. Sérieusement. Si votre première pensée face à la Rolls-Royce Spectre, ce monolithe électrique facturé à plus de 400 000 € hors options, est de la juger à l’aune de son coût, vous êtes déjà passé à côté de l’essentiel. C’est précisément pour cela que la quasi-totalité de la population observera cet objet roulant sans jamais saisir la véritable nature de son luxe. La Spectre n’est pas une voiture. C’est un manifeste. Une rébellion silencieuse contre un monde bruyant, pressé et standardisé. Son luxe ne se mesure pas en chevaux-vapeur ou en options cochées sur un catalogue, mais en décibels en moins, en heures de sérénité gagnées et en une exclusivité qui dépasse la simple surface financière. C’est une expérience sensorielle conçue pour une élite qui n’achète plus des objets, mais du temps et de la tranquillité.

Plus qu’une Voiture, un Sanctuaire Roulant

Pourquoi 99% des gens ne comprendront jamais vraiment le luxe de la Rolls-Royce Spectre, Africars24

Le passage à l’électrique n’était pas un choix pour Rolls-Royce, c’était une évidence. Pas pour des raisons écologiques, mais parce que cette technologie permet d’atteindre le but ultime de la marque depuis plus d’un siècle : le silence absolu. Le V12 maison était déjà une référence en matière de discrétion, mais le double moteur électrique de la Spectre, développant 585 chevaux et 900 Nm de couple, propulse l’expérience dans une autre dimension. Le 0 à 100 km/h en 4,5 secondes est anecdotique. La véritable performance est l’isolement total qu’il procure. Les ingénieurs ont utilisé plus de 150 kg de matériaux isolants et ont même poli les conduits d’air conditionné pour que l’air ne s’y exprime pas avec impolitesse. La suspension « Planar », capable de désaccoupler les barres anti-roulis en ligne droite, ne se contente pas de gommer les imperfections de la route, elle donne l’impression de flotter à quelques centimètres au-dessus. C’est ce que Rolls-Royce nomme le « Magic Carpet Ride », et jamais cette expression n’a été aussi juste.

Le Design : Un Dialogue entre Héritage et Futurisme Radical

La Spectre ne ressemble à aucune autre voiture électrique, car elle ne cherche pas à en être une. Elle est avant tout une Rolls-Royce. Sa silhouette massive de « fastback », inspirée des yachts les plus élégants, est une déclaration de présence. Chaque détail est un pont entre le passé et l’avenir. Le Spirit of Ecstasy, la célèbre statuette ornant le capot, a été affiné pendant plus de 830 heures en soufflerie pour être plus bas, plus dynamique, et contribuer au coefficient de traînée record de 0,25, faisant de la Spectre la Rolls-Royce la plus aérodynamique de l’histoire. La calandre Panthéon, la plus large jamais montée sur une Rolls, n’est pas là pour refroidir un moteur inexistant, mais pour être illuminée la nuit, offrant une signature lumineuse qui ne crie pas, mais qui murmure sa supériorité. Ce design n’est pas fait pour plaire à tout le monde. Il est fait pour affirmer que l’opulence et la grandeur ont leur place dans le futur, un futur silencieux et implacable.

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L’Artisanat à l’Ère Numérique : Le Luxe des Détails Invisibles

Pourquoi 99% des gens ne comprendront jamais vraiment le luxe de la Rolls-Royce Spectre, Africars24

C’est ici que la notion de luxe devient totalement incompréhensible pour le commun des mortels. L’intérieur de la Spectre est moins un habitacle qu’une galerie d’art privée. Pour la première fois, les « Starlight Doors » font leur apparition, intégrant 4 796 « étoiles » lumineuses dans les contre-portes, en plus du traditionnel ciel de toit étoilé. Le tableau de bord côté passager peut lui aussi être orné de plus de 5 500 étoiles formant le nom « Spectre ». Mais le véritable luxe est le programme « Bespoke ». Il ne s’agit pas de choisir la couleur de son cuir dans une palette de 20 teintes. Il s’agit de commander une œuvre unique. Un client peut demander à ce que le bois de l’habitacle provienne d’un arbre de sa propriété, à ce que le motif de la broderie sur les sièges reproduise un dessin de son enfant, ou à ce qu’une nouvelle couleur de carrosserie, portant son nom, soit créée et ne puisse plus jamais être utilisée par quelqu’un d’autre.

Un Club Exclusif, Pas un Achat

La raison fondamentale pour laquelle la Spectre est un concept si abstrait est que l’on ne l’achète pas comme on achète un produit. On reçoit une allocation. L’argent, bien que nécessaire, n’est pas le seul critère. La marque privilégie ses clients les plus loyaux et ceux dont le profil correspond à son image. La liste d’attente, qui s’étend sur plusieurs années, n’est pas un problème logistique, c’est un filtre. Ce processus transforme la transaction en une commission, un peu comme on commanderait un portrait à un grand maître. Posséder une Spectre, c’est intégrer un club dont les membres partagent une même vision du monde, où le luxe n’est pas l’affichage de la richesse, mais la capacité à s’en extraire. C’est acheter le silence, la personnalisation absolue, et l’assurance d’être dans un cocon que personne d’autre ne peut répliquer. Et cette idée, dans notre monde de production de masse, est le luxe le plus inaccessible qui soit.

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Saviez-vous que la SL 63 peut se recharger en roulant ? On vous explique ce tour de magie.

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Saviez-vous que la SL 63 peut se recharger en roulant ? On vous explique ce tour de magie., Africars24

Loin des discours édulcorés sur l’efficience et les petits trajets en silence, Mercedes-AMG a détourné la technologie hybride pour la transformer en une arme de performance brute. Le porte-étendard de cette philosophie radicale est la nouvelle Mercedes-AMG SL 63 S E Performance. Un roadster de 2,3 tonnes et 816 chevaux qui cache un secret fascinant : une capacité à régénérer son énergie avec une agressivité telle qu’elle redéfinit la notion même de conduite. Ce n’est pas de l’écologie, c’est de la sorcellerie mécanique puisée directement dans les paddocks de la Formule 1. On vous explique comment ce « tour de magie » fonctionne et pourquoi il change absolument tout.

Le cœur de l’illusion : bien plus qu’un simple hybride

Pour comprendre la SL 63 S E Performance, il faut d’abord effacer de son esprit l’image d’une Toyota Prius. Ici, le système hybride n’est pas un accessoire destiné à réduire la consommation, mais le cœur d’une stratégie de puissance instantanée. AMG nomme cela « E Performance ». La pièce maîtresse est une batterie Haute Performance (HPB) de 6,1 kWh, développée en interne à Affalterbach. Sa mission n’est pas de vous emmener au bureau en mode furtif sur des dizaines de kilomètres, comme en témoigne son autonomie dérisoire de 13 km. Sa véritable vocation est d’encaisser et de délivrer de l’énergie à une vitesse fulgurante, une caractéristique héritée directement des monoplaces de Lewis Hamilton. Cette batterie est conçue pour être constamment sollicitée, vidée et rechargée plusieurs fois lors d’une seule attaque sur une route de montagne ou un circuit.

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La mécanique de la magie : comment ça marche vraiment ?

Le secret de cette auto-recharge réside dans un système de freinage régénératif configurable sur quatre niveaux, sélectionnables via un bouton sur le volant. Au niveau 0, la voiture se comporte comme un véhicule thermique classique, en roue libre lorsque vous levez le pied. Au niveau 1, une légère récupération d’énergie se met en place, à peine perceptible. Les niveaux 2 et 3, en revanche, transfigurent l’expérience. Le niveau 3 est si puissant qu’il permet ce que les ingénieurs appellent la conduite « One-Pedal ». En levant simplement le pied de l’accélérateur, la voiture décélère si fort que les feux de stop s’allument. Le moteur électrique, situé sur l’essieu arrière, inverse sa fonction pour devenir un générateur, récupérant jusqu’à 100 kW de puissance pour recharger la batterie. C’est une force de décélération massive qui rend l’usage de la pédale de frein presque superflu dans de nombreuses situations de conduite dynamique.

Une symphonie de puissance, pas seulement une fonction

Cette régénération agressive n’est pas un gadget. C’est la clé qui permet au V8 biturbo de 4,0 litres et au moteur électrique de 204 chevaux de fonctionner en parfaite harmonie. En gardant la batterie toujours à un niveau de charge optimal, le système garantit que le « boost » électrique est disponible à chaque sortie de virage, à chaque ré-accélération. La voiture ne s’essouffle jamais. En mode Sport+ ou Race, le système est calibré pour que l’énergie récupérée lors d’un freinage appuyé soit immédiatement prête à être redéployée pour la ligne droite suivante. C’est un cycle perpétuel de puissance. Le système gère intelligemment le flux d’énergie pour s’assurer que le conducteur dispose toujours de la totalité des 1420 Nm de couple. C’est une approche qui privilégie la constance de la performance maximale plutôt que l’endurance électrique.

La connexion F1 : du cockpit de Hamilton à votre garage

L’analogie avec la Formule 1 n’est pas un simple argument marketing. La batterie de la SL 63 utilise une technologie de refroidissement direct révolutionnaire. Chacune des 560 cellules est refroidie individuellement par un liquide non conducteur qui circule autour d’elle. Ce système maintient la batterie à une température de fonctionnement idéale et constante d’environ 45°C, qu’elle soit en pleine charge ou en pleine décharge. C’est ce qui lui permet d’offrir des performances répétées sans surchauffe ni baisse de puissance, un problème courant sur les batteries lithium-ion conventionnelles. C’est une technologie conçue pour la guerre du chrono, où chaque milliseconde compte, et elle se retrouve aujourd’hui sous le capot d’un cabriolet de Grand Tourisme.

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Un aperçu du futur d’AMG ?

Le système de régénération de la SL 63 S E Performance est bien plus qu’une simple fonctionnalité technique. C’est une déclaration d’intention. À une époque où le V8 est en sursis, AMG ne se contente pas de l’électrifier pour survivre ; la marque le réinvente pour le rendre encore plus monstrueux. Cette technologie n’a pas pour but de sauver la planète, mais de préserver l’âme d’AMG dans un monde qui change. Elle apprend au conducteur une nouvelle danse, un nouveau rythme où la décélération devient une partie intégrante de l’accélération. C’est un pont intelligent et spectaculaire jeté entre un héritage thermique glorieux et un avenir électrique inévitable. La magie de la SL 63, ce n’est pas de rouler sans essence, c’est de transformer chaque freinage en une promesse de puissance à venir.

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Payer 300 000€ pour des pannes ? La vérité choquante sur la fiabilité de la nouvelle Aston Martin

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Payer 300 000€ pour des pannes ? La vérité choquante sur la fiabilité de la nouvelle Aston Martin, Africars24

L’Aston Martin DB12 est une pure sculpture. Une promesse sur roues. Présentée non pas comme une simple « Grand Tourer » mais comme la première « Super Tourer » au monde, elle a tout pour elle : une ligne à couper le souffle qui affine la silhouette déjà sublime de la DB11, un habitacle enfin à la hauteur du blason et une puissance de feu qui la propulse au sommet de sa catégorie. Le V8 bi-turbo de 4.0 litres, d’origine AMG mais entièrement revu par les sorciers de Gaydon, développe 680 chevaux dans une symphonie mécanique enivrante. Sur papier et lors des premiers essais, la DB12 est un triomphe absolu, une machine qui justifie son ticket d’entrée stratosphérique qui dépasse allègrement les 300 000 euros avec quelques options bien senties. Mais derrière la façade de perfection et les superlatifs de la presse, une autre réalité, bien moins glorieuse, commence à émerger des témoignages des premiers propriétaires. Une réalité faite de voyants moteur allumés, d’écrans noirs et de visites imprévues à l’atelier, qui pose une question brutale : le rêve Aston Martin se transforme-t-il en cauchemar une fois le chèque signé ?

Le Rêve et la Dure Réalité du Club des Premiers Adopteurs

Payer 300 000€ pour des pannes ? La vérité choquante sur la fiabilité de la nouvelle Aston Martin, Africars24

Devenir propriétaire d’une nouvelle Aston Martin, c’est entrer dans un club très fermé. C’est l’aboutissement d’un parcours, la concrétisation d’une passion. Les premiers clients de la DB12 ont partagé avec enthousiasme les photos de leur acquisition, célébrant un design qui fait l’unanimité et des performances qui redéfinissent les standards. Pourtant, après l’euphorie des premiers kilomètres, les forums spécialisés comme PistonHeads ou Aston Martin Life ont vu fleurir des récits beaucoup moins idylliques. Des témoignages précis et récurrents qui dessinent le portrait d’une voiture magnifique mais tourmentée par des démons électroniques. Le plus cité est sans conteste le tristement célèbre « Check Engine Light » (voyant moteur) qui s’allume de manière intempestive, parfois après seulement quelques centaines de kilomètres. Si les concessionnaires évoquent souvent des « capteurs trop sensibles » nécessitant une simple recalibration, l’angoisse de voir un tel avertissement sur une voiture neuve de ce calibre laisse des traces. Ce n’est pas un incident isolé, mais un schéma qui semble se répéter, transformant l’excitation de la possession en une anxiété latente à chaque démarrage.

Sous le Capot : Une Mécanique d’Exception, une Électronique Capricieuse ?

Il faut le dire sans détour : le cœur mécanique de la DB12 est une merveille. Le travail d’Aston Martin pour transcender le bloc AMG est palpable. Le couple monumental de 800 Nm est disponible très tôt, offrant des reprises cataclysmiques, le tout géré par une boîte automatique ZF à 8 rapports réactive et intelligente. La puissance est telle qu’elle surclasse non seulement sa devancière à moteur V12, mais aussi ses concurrentes les plus directes. Cependant, toute cette brutalité mécanique est orchestrée par une architecture électronique entièrement nouvelle et complexe. Le point névralgique semble être le tout nouveau système d’infodivertissement, développé pour la première fois en interne par Aston Martin. Salué comme une libération après des années à utiliser l’ancien système COMAND de Mercedes, il est au centre de nombreuses frustrations. Des propriétaires rapportent des écrans qui se figent, un système de navigation qui perd le nord, des connexions Apple CarPlay et Android Auto qui s’interrompent sans raison. Ces « gremlins » électroniques, bien que souvent bénins, sabotent l’expérience de luxe et de sérénité que l’on attend d’un véhicule de ce rang.

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Le Paradoxe du « Handmade in Gaydon » : Entre Artisanat et Fiabilité

Payer 300 000€ pour des pannes ? La vérité choquante sur la fiabilité de la nouvelle Aston Martin, Africars24

La force d’Aston Martin a toujours résidé dans son image d’artisanat, de voitures assemblées à la main avec une âme que les constructeurs de masse ne peuvent répliquer. Le cuir pleine fleur, les boiseries précieuses, l’ajustement des panneaux de carrosserie, tout cela contribue à la légende. Mais en 2025, une voiture n’est plus seulement une mécanique et un châssis ; c’est un ordinateur sur roues. Le paradoxe de la DB12 est là : comment concilier un héritage de fabrication manuelle avec les exigences de fiabilité logicielle d’un produit technologique de pointe ? La multiplication des bugs électroniques suggère que les processus de validation logicielle et de contrôle qualité peinent à suivre la complexité croissante des systèmes embarqués. Le client ne paie pas seulement pour un moteur et un design, il paie pour une expérience globale sans faille. Et c’est là que le bât blesse. Quand la technologie censée améliorer la vie à bord devient la principale source d’irritation, l’ensemble du contrat de confiance est remis en question.

Le Verdict : Investissement Passion ou Gouffre Financier ?

Alors, faut-il fuir la DB12 ? Certainement pas. Il est impossible de nier ses qualités exceptionnelles. Elle est probablement la GT la plus complète et la plus désirable du marché actuel. Sa conduite est un pur chef-d’œuvre d’équilibre entre le confort d’une grand tourisme et l’agressivité d’une supercar. Cependant, l’acheteur potentiel doit être conscient de la situation. Il n’achète pas une Porsche 911, réputée pour sa fiabilité quasi-infaillible. Il achète une Aston Martin, avec tout le caractère et, semble-t-il, les caprices que cela implique. La marque doit impérativement réagir vite avec des mises à jour logicielles robustes et un service après-vente irréprochable pour rassurer son exigeante clientèle. Car à plus de 300 000 euros, les pannes ne sont pas une option. La DB12 est et restera un achat purement passionnel. Mais même la passion la plus ardente peut être refroidie par une succession de pannes et de frustrations. La beauté excuse beaucoup de choses, mais peut-elle vraiment tout pardonner ?

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